<div class="presensation-v2"><div class="zone-haut"><div class="info-perso pseudo">Steven G. Rogers</div><div class="image-perso" style="background: url('https://2img.net/r/ihimizer/img923/1138/h0QypR.gif');background-size: cover;background-position: 50%;"></div><div class="info-perso"> Marvel </div></div><!--


--><div class="zone-resume"><div class="avatar-perso" style="background: url('https://2img.net/r/ihimizer/img922/1814/KxdPDK.jpg');background-size: cover;"></div><div class="infos"><label>Nom :</label> Rogers
<label>Prénom :</label> Steven, Grant
<label>Surnom :</label> Steve, Captain America
<label>Date de naissance, lieu :</label> 4 juillet 1917, Brooklyn
<label>Orientation sexuelle :</label> Pansexuel
<label>Type :</label> Humain amélioré
<label>Oeuvre d'origine :</label> Marvel
<label>Saison/Film/Jeu choisi(e) :</label> Comics + MCU post crédit Black Panther
<label>Timeline fixe ou libre :</label> Libre
<label>Réalité principale :</label> Surnaturelle
<label>Groupe :</label> The heart of a mighty
<label>Rang :</label> Chaotique Bon
<label>Avatar :</label> Chris Evans
<label>Crédits :</label> Ichi</div></div><!--

--><div class="caractere-perso"><titre><n1>ton</n1><n2>caractère</n2></titre><div class="caractere"> S'il ne devait y avoir qu'un seul mot pour décrire Steve, ce serait juste. Si on devait en choisir un autre, ce serait loyal. Et ensuite viendrait tout un tas d'autres adjectifs, gentil, serviable, engagé... En résumé, le genre idéal. Le soldat parfait ? Presque.

Parce que si sur le terrain, Steve est toujours plus efficace, l'état major doit composer avec un soldat qui n'hésite pas à contester les ordres s'il considère qu'ils sont injustes. Et avant de les exécuter, il cherche d'abord, avec une rapidité de l'esprit qui égale celle de ses mouvements à comprendre avant d'exécuter les ordres Car si Steve se bat, c'est avant tout pour des valeurs. Il se bat pour la Liberté, il se bat pour la démocratie, il se bat pour que chacun puisse vivre sa vie comme il l'entend et en toute sécurité. En résumé, Steve se bat pour l'humanité, pas pour les hommes qui prétendent la diriger et ne voient en cette occasion que leurs propres profits. Lorsqu'il s'agit d'agir, Steve est un leader et un fin stratège.

Dans sa vie civil et ses relations sociales, Steve est quelqu'un de foncièrement gentil, prêt à tout pour ses amis. D'un naturel plutôt discret. Pour le peu de place qu'il s'accorde pour avoir une vie privée, il la protège très jalousement et déteste qu'on s'en mêle. Il a trop souvent été trahit et n'accorde pas facilement sa confiance. Néanmoins, quand on parvient à l'obtenir, c'est « pour la vie ». Steve est quelqu'un de serviable, avec des manières qui le font parfois paraître d'un autre temps. </div></div><!--

--><citation>"Je pourrais faire ça toute la journée."</citation> <!--
--><div class="zone-histoire">
<div class="zone-images"><div class="image-haut"><span style="background: url('https://i.ibb.co/JR6nkd8/tumblr-p89q9fw-H2-Q1x8bd0vo7-250.jpg');background-size: cover;"></span></div><div class="images-bas"><span style="background: url('https://2img.net/r/ihimizer/img922/5650/HDFPQ7.png');background-size: cover;"></span><span style="background: url('https://2img.net/r/ihimizer/img924/8801/M3Cf8H.jpg');background-size: cover;"></span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR L'APOCALYPSE

--><div id="apo" class="histoire zone-visible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 35 ans.
<label>Situation amoureuse :</label> Célibataire.
<label>Ancien métier :</label> Capitaine dans l'U.S. Air Force.
<label>Communauté :</label> Bâtiment en construction.
<label>Nouvelle fonction :</label> Membre de l'équipe tactique.</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité apocalyptique</span></div><span> Avoir une enfance difficile, ça renforce le caractère. Pas que Steven Grant Rogers se trouve spécialement plus fort qu'un autre, mais il sait que, sans la vie qu'il avait mené, peut-être qu'il n'en serait pas là aujourd'hui. Peut-être même qu'il n'aurait pas survécu.

Mais une enfance difficile, qu'est-ce que c'est ? En moyenne, Steve ne se plaints pas, mais on l'a fait assez de fois à sa place pour qu'il finisse par admettre qu'elle n'a pas été des plus faciles non plus. Pourtant, Steve a toujours refusé de s'apitoyer sur son sort. Parce que, lorsque son père est parti alors que Steve n'avait que cinq ans, il n'a jamais vu sa mère flancher. Elle a accusé le coup, oui. Et au lieu de s'arrêter, de tout abandonner, elle a redoubler d'effort. Elle a pris un second emploi, pour pouvoir le protéger, lui. Alors Steve, du haut de ses cinq ans, s'est promis que, dès qu'il le pourrait, lui aussi, il ferait tout pour protéger les autres.

Ce qui n'a jamais été simple, quand on était un enfant un peu chétif  et asthmatique avec une passion – et un talent – assez prononcé pour le dessin. Pourtant, Steve a toujours mis un point d'honneur à ne jamais faillir de sa ligne de conduite. Défendre les plus faibles, même face à plus fort que lui. Et se faire, inlassablement, casser la gueule, sans jamais s'enfuir.

Alors oui, Steve a toujours mis un point d'honneur à protéger tous ceux qui en avaient besoin. Sans malheureusement pouvoir rendre à sa mère tout ce qu'elle lui avait donné. Cancer, alors qu'il n'avait que 17 ans. Et six mois plus tard, elle était décédée.

Un déclencheur, pour Steve. Il ne serait pas médecin, il ne pourrait jamais assumer le coût de telles études. Mais il pouvait protéger d'une autre façon. Même si pour cela, il devait faire bien plus d'efforts que les autres, et dépasser ses propres capacités. Alors il s'y mit. Il ne compta plus ses heures à la salle de sport, ses soirées passées à étudier la tactique, ses loisirs oubliés. Tout ça pour avoir le niveau. Et finir par réussir à intégrer l'U.S. Air Force.

Ca n'a jamais été de tout repos, bien sûr, mais Steve n'a jamais rechigné à la moindre corvée, à la plus dangereuse des missions de terrain. A ces opérations menées à l'étranger, qui sont devenues sa spécialité. Et c'est sur ces missions à l'étranger qu'il a rencontré celle qui aurait dû, il l'a cru, vraiment, partager sa vie : Margaret Carter, dite Peggy. Une femme extraordinaire. Qui aurait dû devenir la sienne. Il avait prévu de faire sa demande, lors de l'une de leur permission. C'était en 2017. Quand on commençait à parler de la toxicité.

Il ne savait même pas quand tout avait dégénéré. Il s'interrogeait, parfois. S'il y avait eu un point de non retour. Un moment avant lequel ils auraient pu être sauvé, où lui, à son maigre niveau, aurait pu faire quelque chose. Où si, dès l'apparition du fléau, tout avait été perdu d'avance.

Il n'en saurait jamais rien. Tout ce qu'il savait, c'était qu'aujourd'hui, il n'y avait plus grand chose à sauver. Mais, pour ce plus grand chose, il se battrait, jusqu'au bout. Même si tant de gens étaient morts. Même si Peggy s'était faite tuer, emporté par une horde sans qu'il ne puisse rien y faire, là, sous ses yeux, et qu'il s'était demandé, pendant des jours, s'il pourrait ne serait-ce que s'en relever. Aujourd'hui, il devait continuer à se battre. Pour ceux qui restaient. Il se battrait, pour les garder en sécurité. Jusqu'au bout.

</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR LE CITY

-->
<div id="city" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 35 ans.
<label>Situation amoureuse :</label> Célibataire.
<label>Quartier :</label> Brimstone Road
<label>Métier :</label> Lieutenant de police.
<label>Association :</label> Home for everyone, bénévole.
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité city</span></div><span>Steven Grant Rogers. 35 ans. Lieutenant de police pour la ville de Silvergate. Célibataire, sans enfant. Quelques amis. Une mère vieillissante qui coule une retraite bien méritée dans l'appartement de Warlington Square. Et pour en arriver là ?

L'enfance classique, quoi que un peu difficile, peut-être, avec le décès prématuré d'un père à cause de son alcoolisme, qui oblige à grandir un peu plus vite que prévu. L'adolescence, ensuite, qui s'agite un peu, avec sa manie de vouloir défendre la veuve et l'orphelin, du haut de son corps trop maigre et plus petit que les autres. Les premiers amours, après, ou plutôt, LE premier amour, de celui qu'on n'oublie jamais – et qui ne devrait, lui non plus, jamais nous oublier. L'entrée dans l'âge adulte, enfin, avec une carrière contrariée et une santé trop incertaine pour intégrer l'armée ; ce sera donc la police. Rien de plus classique. Une vie sans histoire.

Une histoire sans vie. Parce qu'il en manque, aujourd'hui, un élément essentiel. Vital. James Buchanan Barnes. Bucky. Autour de qui tout a tellement tourné, depuis leur première rencontre, qu'il a parfois l'impression de n'être plus qu'un personnage secondaire, un simple spectateur.

Bucky, qu'il a rencontré la première fois alors qu'il tentait de défendre un plus petit que lui face à deux brutes du quartier et qu'il était sur le point de se faire casser la figure. Bucky, qui est intervenu pour lui empêcher une raclée mémorable. Bucky, qui a toujours été là, par la suite, quand Steve jouait au héros, ce qui arrivait plus souvent qu'à son tour. Bucky, avec qui il a grandit. Bucky, avec qui il a découvert.. autre chose. Sans en parler, dans un premier temps. Comment avouer à son meilleur ami qu'on est amoureux de lui ?

Et puis la vie qui les a séparé. Bucky qui a été condamné, envoyé à l'armée, et Steve dans l'incapacité de le suivre. Steve, qui continue son propre chemin, frustré, mais qui trouve sa voie. Pour lui, ce sera l'école de police, et les permissions de Bucky pour rythmer son quotidien. [i]Et puis le premier baiser, enfin. Et leur relation qui évolue d'elle-même. Et Steve est certain que rien ne pourrait aller[/i] mieux.

Mieux, non. Mais pire ?

Parce que Bucky est mort. Et c'est le monde de Steve qui s'écroule. Parce qu'il vient de perdre une part de lui-même. Et, si on lui demande alors, il aurait très certainement dit qu'il s'agissait de la meilleure.

Il faudra un an, à Steve, pour avoir l'impression de se remettre. Et il en a une conscience aiguë ; il n'aurait pas tenu sans la possibilité de se plonger corps et âme dans son métier. Aider les autres. Et s'oublier lui-même. Il faudra un an, à Steve, pour avoir l'impression de se remettre. Pour ne plus avoir l'impression d'avoir constamment la tête sous l'eau. Pour avoir l'impression de respirer de nouveau. Un peu.

Et Steve avait même tenté de reprendre une vie normale. Il avait rencontré quelqu'un. Il avait cru aller mieux. Il avait cru avancer. Se relever.

Avec le recul, aujourd'hui, Steve a l'impression que cette période de sa vie était presque normale. Etait presque moins douloureuse que les années qui ont suivies. Le retour de Bucky, l'accusation de trahison, dans laquelle il n'a jamais su se résoudre à croire que la culpabilité de Bucky était engagée. Et la prison. Bucky enfermé. Et Bucky, surtout, qui ne le reconnaît pas. Pire. Qui semble ne l'avoir jamais connu.

Pendant ces années, pourtant, Steve n'a jamais abandonné. Jamais abandonné l'espoir de voir la culpabilité de Bucky écartée. Jamais abandonné de suivre, de loin, l'évolution de son dossier. Jamais abandonné l'idée de le voir sortir, un jour. Peut-être pour essayer de retirer un peu cette culpabilité dévorante. Celle de ne pas réussir à aller le voir. Celle de ne pas réussir à affronter ce regard dans lequel il est juste, aujourd'hui, un parfait inconnu.

Mais les choses ont changé. Bucky est sorti, sous surveillance. Bucky est libre. Et Steve ne veut plus tergiverser. Ils ne redeviendront peut-être pas ce qu'ils ont été. Mais peut-être peuvent-ils, au moins, redevenir ami. Parce que Steve, aujourd'hui, veut juste l'aider.
</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR l'HISTORIQUE

-->
<div id="histo" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 45 ans
<label>Situation amoureuse :</label> Marié
<label>Lieu d'habitation :</label> Roselake
1. <label>Type :</label> Humain
<label>Métier :</label> Seigneur, exploite ses terres, ancien général des armées royales
<label>Classe sociale :</label> Noble
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité historique</span></div><span>Seul enfant de la noble famille Rogers, orphelin de père à ses quinze ans, Stephen a hérité des terres et du titre de son père à sa majorité. Ayant fait ses classes auprès du même maître d’arme que le souverain de Roselake, Stephen est toujours resté proche de la famille royale et il a eu l’insigne honneur de commander ses armées avant de prendre sa retraite, non sans garder une aura de charisme et d’autorité à la Cour. Fin stratège, on ne manque jamais de venir lui demander avis et conseils qu’il dispense toujours avec bienveillance. De plus, conscient des privilèges qui sont les siens et ayant bien du mal à supporter les injustices, Stephen sait se montrer généreux envers ceux qui en ont besoin et toujours prêt à défendre les causes auxquelles il croit. Mais les intrigues de Cour ont eu raison de sa patience et ses apparitions publiques se font des plus rares au royaume de Roselake. Vivant presque en reclus sur son domaine, Stephen ne prend que rarement part aux festivités du Royaume, où il est pourtant toujours accueilli avec les plus grands honneurs.

Ce n’est pas le cas de sa femme, qui elle aime être au cœur de l’action. Car, bien sûr, Stephen a été contraint de se marier sous la pression sociale, même s’ils n’ont jamais pu donner d’héritier à leur maison ; et pour cause, Stephen a toujours préféré la compagnie virile aux jupons féminins. Qu’à cela ne tienne, sa femme s’en est toujours contentée et le titre, l’argent et le prestige que ce mariage lui offre sont autant d’atouts qui lui permettent de se satisfaire de la situation, à tel point qu’à défaut d’amour, ils ont développé l’un pour l’autre une franche et solide amitié. Elle le laisse ainsi la plupart du temps gérer d’une main de fer leur demeure dans les terres de Roselake pendant qu’elle occupe son rôle de dame de compagnie de la Reine ; cela a, de plus, l’avantage pour Stephen de se tenir informé des potentiels dangers en ayant une personne à l’intérieur même du palais royal.

Cela fait donc quelques années que Stephen mène une existence paisible dans son domaine. Rares sont ceux à connaître son côté autoritaire en privé, un fait dont sa femme s’amuse plus souvent qu’à son tour, elle qui n’hésite pas à lui répondre. Stephen n’hésitera néanmoins jamais à accueillir ceux qui en ont besoin, leur permettant de trouver un refuge mais exigeant en échange une parfaite loyauté. Et pour certains, cette loyauté doit se gagner plus durement que pour d’autres…
</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR LE SURNATUREL

-->
<div id="surnat" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 103 ans.
<label>Situation amoureuse :</label> Célibataire.
<label>Quartier :</label> Lost Sea
<label>Type :</label> Humain amélioré.
<label>Particularités/pouvoirs :</label> Sérum du super soldat ayant poussé les capacités de Steve au maximum de celles d'un être humain :
Force, vitesse, agilité, endurance, réflexes, efficience physique et sens améliorés
Durabilité surhumaine
Maîtrise de la boxe, de judo et d'autres formes de combat
Pilote, stratège, meneur d'hommes
Maîtrise l'allemand et le russe
<label>Métier :</label> Policier du quartier de Lost Sea
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité surnaturelle</span></div><span>Pour connaître, aujourd'hui, la vie de Captain America, il suffit d'ouvrir un livre d'Histoire. Ou d'être allé visiter le musée qui lui est dédié. On y apprend tout. L'enfance, dépeinte de façon pathologique, pour tenter d'apitoyer le public : la mort de son père, la maladie de sa mère, le quartier populaire de Brooklyn.

On présente ensuite son parcours, son engagement au service de sa Patrie, la naissance d'une icône. L'entraînement, la transformation de l'homme en Héros. On peut même voir, sur des photos en noir et blanc, sur de courts films muets, ces danseuses en mini-jupes qui l'accompagnaient lors des représentations destinées à mobiliser les populations en faveur de l'effort de guerre. Et bien sûr, la part belle est faite à ses exploits militaires. A ces missions impossibles à réussir dont seuls eux pouvaient venir à bout. A ses compagnons de combat qui avaient été là, jusqu'au bout, et avaient continué, après lui. Et à James B. Barnes.

Venait la tragédie de son accident, la perte que cela avait été pour un pays tout entier, soit disant, la Nation endeuillée. Sa mémoire, qui avait été honorée dans les écoles, au Sénat et jusque dans les plus hautes sphères, les hommages publics. On passait sous silence, bien sûr, le fait qu'au fil des années, il était devenu une figure un peu ringarde, un peu désuète, d'un moment du passé que beaucoup essayaient d'oublier.

On célébrait par contre en grande pompe son retour, inattendu mais triomphal, la façon dont il avait sauvé le monde depuis, de nombreuses fois. On mettait en avant son rôle, celui du porte-drapeau de la première puissance mondiale, minimisant même parfois le rôle d'autres Avengers à son profit. Un discours de propagande finalement parfaitement rôdé.

Qui ne disait rien, au final, de Steve Rogers. Qui ne disait pas sa volonté farouche, enfant, adolescent, jeune homme, de servir son pays et de toujours défendre les plus faibles, et l'absence totale d'hésitation à subir un protocole pouvant lui permettre de servir son pays. Qui passait sous silence son amertume quant, tel un guignol instrumentalisé, on faisait combattre, jour après jour, ville après ville, un Führer de pacotille. Qui taisait, surtout, la façon dont il savait prendre les décisions et contredire les ordres, pour se mettre, toujours, au service de la population.

Qui ne disait rien, surtout, sur les plus récents événements. Sur ce qui était considéré comme la trahison du héros, sur sa déchéance. Tout cela, on ne l'aurait jamais entendu au musée qui, repris par des afficionados du Captain, ne voulaient pas entendre parler et lui trouver toutes les excuses possibles. Tout cela, on le voyait encore moins dans les livres qui, petit à petit, étaient retirés des établissements scolaires, comme pour gommer l'icône qu'il avait été. Car oui, Steve Rogers, Captain America, était aujourd'hui en fuite. Et ça ne faisait pas très net, sur cet image de héros parfait.

Pourtant, Steve ne regrettait rien, ou presque, de ce qui l'avait amené à ça. Entendons nous bien, il ne regrettait pas ses décisions : il savait qu'elles étaient justes, et pas une seconde, pas un seul instant, il n'aurait pu envisager de laisser Bucky payer pour des actes dont il n'était pas responsable. Ce qu'il regrettait, par contre, c'était le reste. La fin des Avengers, la cassure au sein de l'équipe. La perte de ses amis, et en premier lieu, celle de Tony. Mais Steve, désormais, ne pouvait pas revenir en arrière. Ce qui était fait était fait. Et peut-être qu'un jour, son ami finirai par comprendre et peut-être, peut-être, par lui pardonner...

Peut-être, aussi, que Steve ne le saurait jamais, si tel était le cas. Parce qu'au cours de sa fuite, accompagné des autres Nomades, ils avaient trouvé ce portail. Parce qu'ils s'étaient bien rendu compte qu'ils n'avaient qu'un choix : le traverser. Et parce qu'il se retrouvait, aujourd'hui, dans ce monde étrange, sur l'île de Silvergate, à devoir s'adapter à une nouvelle vie, en attendant... En attendant quoi ? Il ne savait pas très bien. Ce qui le rassurait le plus, néanmoins, c'était que Bucky, lui aussi, avait pu traverser. Et que désormais, il n'était plus loin de lui. Il était hors de question, de toute façon, que cela arrive à nouveau.

Ainsi donc, Steve allait rester. Il n'avait pas vraiment le choix. Et pour le moment, cela lui convenait. Et il avait fait ce qu'il savait faire de mieux. Se mettre au service de la population. Protéger et servir. Intégrer les services de police du quartier de Lost Sea.
</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR LE FUTURISTE

-->
<div id="futur" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> Ici.
<label>Situation amoureuse :</label> Ici.
<label>planete :</label> Ici.
<label>Type :</label> Ici.
<label>Particularités :</label> S'il a des particularités...
<label>Métier :</label> Ici.
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité futuriste</span></div><span>[b]Rappel :[/b] Cette réalité est forcément une [i]réalité alternative.[/i]</span></div></div><!--

--><div class="zone-boutons"><span id="apo-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/08ff6v0qpg3r6zk/biohazard-danger-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="city-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/lg2c8hq0nguxfbh/house-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="histo-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/b1szoujwzpxc8pg/castle-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="surnat-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/szzughe2a3mo99e/satanism-satan-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="futur-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/1judagnej58pd5q/Frame%201.svg?raw=1"></span></div></div><!--

--ZONE INFORMATION DU JOUEUR--

--><div class="presentation-joueur"><div class="icon"><span style="background: url(https://i.ibb.co/MVk1jZY/tumblr-acc42219b6305d653a93938bf845b9fb-94790dc0-500.gif);background-size:cover;"></span></div><div class="bloc-joueur"><titre><n1>ta</n1><n2>présentation</n2></titre><div class="infos-joueur"><label>Pseudo :</label> DianaJess
<label>Âge :</label> 33 ans
<label>Pays :</label> France
<label>Comment as-tu trouvé le forum :</label> La faute d’Ichi xD
<label>Pré-lien/scénario :</label> Scénario de James B. Barnes
<label>Dis ce que tu veux :</label> Ce que tu veux

<label>Je réserve mon personnage :</label>
[code]<oeuvre>Marvel</oeuvre>

<perso><reserve> Steven G. Rogers </reserve></perso> <feat>ft. Chris Evans </feat>[/code]
</div></div></div></div>