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Admin
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Image :  Wednesday Addams Blood-tears-boku-no-hero-academia-43898505-300-169
Surnat - Métier : fsdfsg
Profil - Messages : 216
City - Date d'arrivée : 08/06/2021
Histo - Localisation : Test
https://dr-test-v2.forumactif.com/t1-votre-1er-sujet
# 06.07.22 19:52
Code:
<div class="presensation-v2"><div class="zone-haut"><div class="info-perso pseudo">Wednesday Addams</div><div class="image-perso" style="background: url('https://cdn.vox-cdn.com/thumbor/is4UMRlRQ3YLbg0X5JOMh5mo4n4=/0x0:844x500/1200x800/filters:focal(355x183:489x317)/cdn.vox-cdn.com/uploads/chorus_image/image/68832521/Untitled.0.png');background-size: cover;background-position: 50%;"></div><div class="info-perso">The Addams Family</div></div><!--


--><div class="zone-resume"><div class="avatar-perso" style="background: url('https://64.media.tumblr.com/088daa103b49ae7c68c406a5b568d33e/91676e9e139937d7-17/s1280x1920/581f806d35c6d996909c217b61d2ba95dc316002.png');background-size: cover;"></div><div class="infos">
<label>Prénom :</label> Wednesday Friday
<label>Surnom :</label> [i]Essaie un peu, pour voir ![/i]
<label>Date de naissance, lieu :</label> 31 octobre, New Jersey
<label>Orientation sexuelle :</label> Mother “Wednesday's at that very special age when a girl has only one thing on her mind.” Woman : “Boys?” Wednesday Addams: “Homicide." (Pourra être amené à évoluer).
<label>Type :</label> Sorcière (descendante des sorcières de Salem par sa mère)
<label>Oeuvre d'origine :</label> [i]The Addams Family[/i] - Film de 1991 (en attendant [i]Wednesday[/i] de Tim Burton
<label>Saison/Film/Jeu choisi(e) :</label> Fin du 2 ([i]Addams Family Values[/i], 1993)
<label>Timeline fixe ou libre :</label> Fixe
<label>Réalité principale :</label> Surnaturel
<label>Groupe :</label> The Chaotic Mess
<label>Rang :</label> Chaotique Neutre
<label>Avatar :</label> Jenna Ortega
<label>Crédits :</label> TheMorningRose</div></div><!--

--><div class="caractere-perso"><titre><n1>ton</n1><n2>caractère</n2></titre><div class="caractere">

Froide - apathique - sadique - sinistre - sarcastique - a toujours un plan - manipulatrice - loyale envers sa famille (même si elle adore tourmenter sa fratrie)

Aime / fascinée par : la mort - la science - terrifier les gens - les animaux, surtout les plus dangereux - le triangle des Bermudes - le violoncelle - Shakespeare et la tragédie en général - la peinture - la poésie - son héritage sorcier - sa famille

Hait : la colo - les nounous - les starlettes prétentieuses - les dessins animés et autres choses mignonnes - les contes de fées où les dragons et les sorcières se font massacrer - la médiocrité

“We don’t hug.”

“Your work is puerile and under-dramatized. You lack any sense of structure, character, and the Aristotelian unities.”

“Do you believe in evil?”

“Don’t be a baby. I know what I’m doing. [She levels a crossbow and aims at the apple on her brother's head.]”

“Pugsley, the baby weighs ten pounds, the cannonball weighs twenty pounds. Which will hit the stone first?”

“This is my costume. I’m a homicidal maniac. They look just like everybody else.”
[holding up devil puppet] “Hello Polly, I’ll clean my room. In exchange for your immortal soul.”

"No one torments my family but me."

“Child of woe is wan and delicate… sensitive and on the quiet side, she loves the picnics and outings to the underground caverns… a solemn child, prim in dress and, on the whole, pretty lost… secretive and imaginative, poetic, seems underprivileged and given to occasional tantrums… has six toes on one foot.”</div></div><!--

--><citation>”Sic gorgiamus allos subjectatos nunc." (Nous aimons nous repaître de ceux qui aimeraient nous soumettre.)</citation> <!--
--><div class="zone-histoire">
<div class="zone-images"><div class="image-haut"><span style=";"></span></div><div class="images-bas"><span style=";"></span><span style=";"></span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR L'APOCALYPSE

--><div id="apo" class="histoire zone-visible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 16 ans (née le 31 octobre 2005)
<label>Situation amoureuse :</label> Célibataire
<label>Ancien métier :</label> Collégienne en pensionnat
<label>Communauté :</label> Survit avec une petite bande de gamins de son école
<label>Nouvelle fonction :</label> Armurière et responsable de la sécurité de l’école</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité apocalyptique</span></div><span>
- Si je vous dit “foule hurlante avec torches et fourches… Vous allez me répondre “Moyen-âge” ? Si oui, vous auriez tout faux… Ce genre d’horreurs, ça arrive encore de nos jours, quand les gens sont trop différents ! Pour le mariage de mes parents, toute la famille  était réunie… Et ils ont été attaqués par une horde de fourcheux fous furieux ! Ils ont réussi à finir leur mariage en vitesse, et ils se sont enfuis… dans le pire endroit du monde : le New Jersey.

- Ils ont trouvé refuge dans un vieil asile abandonné - parfait pour une lune de miel, si vous voulez mon avis - et ils ont embauché le dernier résident comme majordome. Et puis, je suis née, et deux ans après, c’était le tour de mon petit frère. J’ai grandi sans jamais franchir le portail - en sécurité derrière les murs, selon ma mère - avec de rares visites de ma grand-mère et de mon oncle. Et bien sûr, avec Socrate, ma pieuvre.

- Et puis un jour, quand j’avais douze ans, j’ai vu arriver un drôle de truc rouge volant, et puis il s’est mis à pleuvoir du papier. Maman a piqué une de ces crises, vous l’auriez vue ! Et puis le brouillard que j’avais connu toute ma vie s’est levé pour la première fois. En bas, il y avait une “ville”, qu’on est allés visiter avec mon oncle.

- La ville s’appelait “Assimilation”. Les gens étaient très, très bizarre, toutes les maisons se ressemblaient et tout était coloré. Il y avait une dame vraiment étrange qui voulait redécorer notre maison, et elle venue chez nous avec sa fille, Parker. On a parlé toutes les deux, et elle m’a convaincue de venir essayer le collège. Jusque-là, j’avais l’école à la maison - enfin, la prison à la maison, si vous voulez mon avis.

- L’école, c’était plutôt cool au final. Je me suis trouvé une nouvelle victime - Bethany, une fille qui tourmentait Parker - et j’ai fait des expériences avec des grenouilles. Et puis, avec Parker, on a fait du shopping, et je lui ai fait un relooking complet. J’ai joué le jeu aussi, y pas de raison - mais complètement, hein ! Je suis rencontrée avec une barrette en forme de tête de licorne. Une licorne décapitée, ça aurait dû plaire à ma mère, non ? Mais il faut dire qu’elle était rose… Alors, elle m’a interdit de retourner au collège. Du coup, j’ai fugué chez Parker.

- Et là, on a fini par découvrir que sa mère avait une pièce secrète où elle espionnait les gens de la ville d’Assimilation, grâce à des caméras qu’elle avait installés dans les maisons qu’elle leur avait construites. Elle nous a enfermées dans le grenier, et dans la rue, elle a monté les gens contre ma famille. Ils avaient des torches sur leurs téléphones, et même une catapulte ! Mais personne ne tourmente ma famille sauf moi ! Je me suis échappée avec une barrette.

- Avec tout ça, j’ai raté le premier grand rassemblement familial depuis le mariage de mes parents : la Mazurka au sabre de mon frère. C’est une épreuve ancestrale qui montre qu’on est digne de protéger la famille… Et il s’est ramassé, ouais, le sabre, c’est pas son truc.

- Mais quand l’autre folle furieuse et sa horde de sbires sont arrivés avec leur catapultes, apparemment, mon frère a protégé la famille en balançant des explosifs de sa fabrication, au lance-pierre, sur les énormes rochers de la catapulte. Je suis arrivée juste à temps pour les aider à sortir, et voir mon frère faire sauter la catapulte. C’était épique !

- En nous voyant nous occuper les uns des autres, les gens d’Assimilation ont [i]enfin[/i] compris qu’on était une famille normale. Avec Parker, on a exposé le scandale des caméras. Et puis au final, les voisins ont décidé de faire connaissance avec nous, et toute notre famille à emménagé à Assimilation, New Jersey.

- L’année d’après, au concours de science d’Assimilation, j’ai réalisé le [i]meilleur[/i] projet ! Bon, ils ont donné des prix à tout le monde pour que personne ne soit triste… Mais mes talents ont été reconnus ! J’ai été approchée par un recruteur qui m’a invitée à m’enrôler dans une école privée à Silvergate, en Californie. A l’autre bout du pays, donc… Mais j’étais partante !

- Alors, j’ai fait ma valise, sans oublier bien sûr une floppée d’armes - parce qu’on ne se refait pas - et ma pieuvre Socrate, et je suis partie dans ma nouvelle école. J’étais encore officiellement “la nouvelle”, arrivée depuis trois semaine environ, lorsque l’Apocalypse s’est déclenchée.

- J’ai découvert avec stupéfaction que j’étais la seule à être venue armée… Alors, je me suis improvisée armurière distribuant de l’équipement à ceux qui sortent en expéditions - expéditions dont je fais souvent partie - et responsable de la sécurité. C’est que l’école était une vraie passoire, pas du tout adaptée pour tenir un siège ! Mais grâce à moi, ce n’est plus le cas !

- En 2018, j'ai exploré les ruines d'un cirque abandonné bien glauque pour voir si j'y trouvais du matériel - et, il faut l'avouer, pour jouer à massacrer les clowns zombies à la hache ! J'y ai trouvé un jeune lion terrifié des gens... En même temps, selon mes calculs, il devait être bébé à l'époque de l'apocalypse... Et depuis, il n'a dû voir que des  zombies, et se nourrir d'herbe, d'insectes, et d'écureils quand il avait de la chance... Alors, bien sûr que je l'ai recueilli ! Pauvre Chaton !
</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR LE CITY

-->
<div id="city" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 15 ans (née le 31 octobre 2007)
<label>Situation amoureuse :</label> Célibataire (bon, ok : c'est compliqué...)
<label>Quartier :</label> Downtown
<label>Métier :</label> Elève dans un collège-lycée
<label>Association :</label> Présidente du club de tragédie dramatique de l’école, qui dépend du Département des Fêtes et Loisirs mais conserve son indépendance créative
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité city</span></div><span>
- C’est à un enterrement que mes parents se sont rencontrés. Ils sont tombés amoureux aussitôt, et ils se sont fiancés le soir même. Puis mariés, bien sûr ! Ils ont eu deux enfants, mon frère jumeau et moi. Nous formons une famille avec ses propres traditions - Père, Mère, Grand-maman, moi et mon frère. Par exemple, essayer de viser les choriste de Noël avec de l’huile bouillante, ou alors, réveiller les morts à Halloween. Mais notre plus grande tradition, c’était notre séance de spiritisme annuelle pour contacter mon oncle, le frère ainé de mon père. Il était parti 25 ans plus tôt, à cause d’une terrible dispute causée par des histoires de filles.

- Quand on était enfants, on faisait l’école à la maison. Père n’avait pas fait des enfants juste pour s’en débarrasser ! Mais un jour, une dame du comité d’éducation est venue parce qu’on allait pas à l’école. On avait sept ans, tous les deux. Ils ont hésité, mais finalement, ils nous ont envoyé à l’école. Moi, j’ai détesté. Je suis rentrée en pleurant parce qu’un affreux chevalier avait tué un pauvre dragon dans un conte de fées, et que de vilains enfants avaient brûlé vive une sorcière hospitalière dans un autre. Du coup, mère a décidé d’écrire des livres un peu plus adaptés à des enfants.

- Mon frère, lui, a un peu trop adoré… Il a commencé à se déguiser en scout, et il a même ammené un C.H.I.O.T à la maison… Il a fallu un psychiatre pour le sortir de son délire ! (Le psy, après, il a pris sa retraite… Je me demande bien pourquoi.)

- Quelques temps plus tard, j’ai lancé tous les pétards de Grand-maman. J’en avais aussi, mais les miens, ils étaient moins cools. Elle a insisté pour qu’on me punisse, et j’ai été interdite de jouer avec Bojack, mon araignée, pendant deux semaines… Alors, j’ai fait un sac, j’ai cassé ma tirelire pour chercher mes douze centimes, et j’ai fugué… Mais mon frère m’a convaincu de fuguer dans sa chambre, pour les voir souffrir. J’ai écrit une lettre : “Chers Mère et Père, je vous déteste. Avec Amour, W. PS : Inutile de me chercher, je ne suis nulle part.” Mais ils n’étaient pas tristes ! Ils disaient que j’aurais faim et froid et qu’ils allaient m’enlever des photos de l’album. Alors, je suis vraiment partie, puisqu’ils ne m’aimaient pas (en fait, ils savaient que j’étais là.) J’ai été attrappée par la police, et je n’ai pas voulu parler ! Mais ils ont menacé de m’emmener chez l’assistante sociale - un agent de torture qui allait me forcer à manger de la tarte aux pommes, à jouer au mollki et me lire l’histoire de Boucle d’Or. Des contes où ils massacrent des dragons et des vieilles sorcières. Et du coup, tout avoué, et après, je suis rentrée à la maison.

- Pour mes huit ans, Père a écrit une pièce pour moi, Claude & Mable, inspirée de Romeo et Juliet. Il a embauché un réalisateur de Broadway très célèbre pour la monter avec tous les effets spéciaux et il a dépensé beaucoup d’argent. Y avait du sang partout à la fin, c’était génial ! Moi, depuis, j’adore Shakespeare !

- Et puis, un jour, quand j’avais douze ans, notre oncle a frappé à la porte. En pleine séance de spiritisme pour l’invoquer, figurez-vous !  Il est arrivé avec un docteur, Pinder-Schloss, qui nous a expliqué qu’elle l’avait trouvé près du triangle des Bermudes, et qu’il ne pouvait rester qu’une semaine, car il avait des choses à y faire. Moi, j’ai tout de suite trouvé ça louche : le triangle, personne n’en sort ! Je le sais bien : j’en suis fan. Et puis, il était bizarre. Mère et moi étions les seules à nous méfier, au début, mais peu à peu, la suspicion a gagné mon père, qui a décidé que c’était un imposteur.

- Alors, le docteur Pinder-Scheiss est revenue pour le convaincre. Mouais, elle aussi elle était louche, à mon avis ! Sauf que pendant ce temps, mon oncle nous a surpris, mon frère et moi, en train de chercher à se pourfendre au sabre - on répétait une pièce de Shakespeare. Et alors, il nous a donné un cours sur l’art et la manière de pourfendre au sabre. Et ensuite, il nous a lu un livre délicieusement glauque sur les blessures, les cicatrices et les infections. Et enfin, on a fait exploser des choses ensemble. Et là, j’en suis devenue sûre et certaine : c’était [i]vraiment[/i] un Addams !

- Mais après avoir participé à nos répétitions et avoir promis de nous aider à faire le sang et le pus pour le spectacle, il nous a lâchés. Il avait changé d’avis ! Et donc, on a fait le spectacle seuls. On avait pas besoin de lui ! De toute manière, après l’épouvantable chanson des fleurs de nos prédecesseurs, on ne pouvait que dominer la scène ! Et pour la dominer, avec nos effets spéciaux, on l’a dominée ! Il y avait du sang [i]partout[/i], c’était magnifique ! On a eu droit à une telle ovation ! Enfin bon, surtout de la part de notre famille. Y compris notre oncle, qui était quand même venu, finalement. J’ai décidé de lui pardonner, et il a même promis de m’emmener un jour dans le triangle des Bermudes.

- Mes parents ont organisé une grande fête avec toute la famille pour fêter son retour. Je me suis retrouvée coincée à danser avec un cousin plouc, c’était l’horreur ! Je commençait à me demander si j’allais faire mine de trébucher pour le planter sur la hallebarde d’une statue l’air de rien, quand Mère est venue à ma rescousse : elle m’a envoyé chercher mon oncle.

- Mais là, dans sa chambre, je l’ai surpris à comploter avec Wunder-Scheiss pour parler d’aller dans le caveau - celui où mon père garde sa fortune. Elle lui rasait le crâne, alors que mon oncle, il est sensé être chauve ! Ils ont essayé de m’attrapper, mais je me suis enfuie par mon tunnel secret.

- J’entendais la musique de la Mamushka, et j’aurais adoré y être - on en voit pas tous les jours, c’est un évènement historique ! Elle a été dansée quand Néron jouait du violon, à Waterloo et pour Jack l’éventreur - mais j’ai dû me réfugier dans le cimetière. Au final, je me suis endormie dans le caveau, sur la tombe de mon ancêtre, Calpurnia Addams - une sorcière brûlée vive à Salem au XVIIIème siècle - et c’est mon père qui m’a retrouvée.

- On est rentrés à la maison, mais là, l’avocat de mon père ne voulait pas qu’on rentre, parce que mon oncle nous avait expulsé. C’était bien la meilleure, ça ! Je leur ai dit, que c’était un imposteur, et mon père a décidé de se représenter lui-même en justice !

- Mais le juge, notre voisin, était de mèche… Père n’arrêtait pas de casser ses fenêtres avec des balles de golf depuis la terrasse… Alors il a tranché pour ce sale traître ! Et il a jeté toutes les balles de mon père.

- Du coup, on a cherché quelques petites affaires, et on a dû partir dans un motel. Le comble, pour une famille comme la notre ! Mon père a même commencé à s’habiller… normalement. Il était plus lui-même, il passait ses journées devant la télé. Mère, elle, a trouvé un travail dans un jardin d’enfants - bizarrement, les enfants ont eu du mal avec ses histoires, pourtant, moi j’adorais ! Elle nous a encouragés à ne pas laisser tomber, alors on a essayé d’apporter notre pierre à l’édifice en vendant de la limonade d’Halloween. Mais visiblement, notre déco ambiance “poisons” n’a pas séduit la clientèle… Je l’avais bien dit à mon frère, qu’une bouteille de cyanure aurait été moins basique que de l’arsenic !

- Les traitres ont kidnappé Mère, et Père est parti la chercher… Mais on allait pas rester là sans rien faire ! Alors, avec mon frère, on est paris creuser la tombe du Docteur Wunder-Storben et de l’avocat. Et puis, ils ont fini par tomber dedans tous seuls. (Malheureusement, ils n’y sont pas restés longtemps, parce qu’après, ils ont été arrêtés. Dommage, on avait parié avec mon frère pour savoir lequel allait mourir en premier…)

- Et donc, il s’est avéré que notre oncle… était vraiment notre oncle ! Le docteur Wunder-Scam l’avait vraiment trouvé dans le triangle des Bermudes, amnésique, et cette vieille folle lui avait fait croire qu’elle était sa mère ! Comme si un homme avec le charme de mon oncle pouvait descendre d’une saleté comme elle ! Il a pris un coup de jus qui lui a redonné la mémoire… Et il a décidé de rester avec nous… Je l’avais bien dit, que c’était un Addams !

- Et on a eu une autre bonne nouvelle : Mère était enceinte. Neuf mois plus tard, il est arrivé, et c’était un vrai petit Addams : les cheveux sombres, le regard déterminé, et ne s’endormant que si on lui amenait sa monstrueuse statue d’ours. Tous les adultes s’extasiaient en le voyant… Et moi, j’ai dit à mon frère - mon jumeau - que s’il restait, l’un de nous devrait mourir.

- Bon, on allait quand même pas l’exclure… Alors, on l’a invité à participer à nos jeux et à nos expériences scientifiques… Surtout les plus métaphysiques, si vous voyez ce que je veux dire. Nos parents nous ont réunis dans le salon, et ils nous ont demandé pourquoi on le détestait. Mais on le détestait pas, nous… On voulait juste jouer avec lui ! Ils nous ont expliqué que c’était plus vrai, qu’un enfant doit mourir pour faire de la place à un bébé. Et Père et notre oncle nous ont expliqué qu’on devait pas jouer à se battre avec le bébé… en jouant à se battre ensemble. Alors moi, j’ai rien compris…

- Bon, avec le recul, on en faisait un peu trop, quand même… Mère n’en pouvait plus, et père a décidé de nous trouver une nourrice. Et puis, ils en ont essayé beaucoup… Mais elles ont filé les une après les autres. La givrée de l’environnement, l’autoritaire, celle avec Polly la marionnette… Aucune ne m’a résisté. C’était devenu un jeu : [i]Spook the nanny[/i] ! Figurez-vous qu’il a même été conseillé à mes parents de prendre un doberman comme nounou… Ils ont essayé, d’ailleurs. Je lui ai appris qui était le patron, et on est devenus copains comme cochons. Je l’ai appelé Cerbère.

- Et puis il y en a eu une nouvelle. [i]Deb[/i]. Elle était louche, encore plus louche que mon oncle à l’époque. Dès le premier jour, je l’ai prise à fouiller dans les papiers de mon oncle, d’ailleurs. Et bien sûr, lui, il commençait déjà à s’enticher d’elle !

- Je l’ai confrontée… Et elle nous a expédiés au Camp Chippewa. En colonie de vacances… Beurk ! Le premier jour, ils m’ont demandé de sauver une blondinette de la noyade… Sauf que je sais pas nager. Par contre, pour les histoires de fantômes, j’étais la meilleure ! Quelle idée aussi, d’affronter une Addams sur son propre terrain !

- Et le lendemain, on a reçu une lettre : notre oncle se mariait… Avec la nounou. Blondinette nous a traités de gens du cirque, et les adultes ont essayé de nous forcer à faire un câlin de groupe. Alors, on leur a dit qu’on était pas timides - juste contagieux. Et là, ils ont décidé de nous enfermer dans la cabane d’harmonie. C’était tellement mignon… un vrai cauchemar ! On a été rejoints par un garçon, Joel, qui avait refusé de monter à cheval et de faire une cabane à oiseaux. Pas par rébellion, hein - il voulait juste lire. Il s’est mis à hurler en voyant l’affiche d’un certain Mickael Jackson - la seule image semi-décente dans cette cabane, pourtant. Blafard, vêtu de noir, le nez ravagé et les lèvres rouges sang… Il aurait [i]presque[/i] pu passer pour un Addams !

- Le soir même, on a essayé de s’évader pour empêcher notre oncle de commettre la plus grosse erreur de sa vie… Et puis Joel a voulu venir “nous aider”, et il a amené l’Inquisition du camping sur nos trousses (je ne veux même pas savoir quel autre nom débile ils se donnaient). Et là, direct sur place, ils nous en embarqués dans un étrange culte musical à leur Seigneur Kumbaya… C’était terrifiant… mais franchement, moi je lui aurait bien sacrifié toute leur bande de bras cassés, à ce Kumbaya, s’il nous avait laissé partir en échange !

- J’avais rien à faire de mieux, alors, j’ai fini par parler avec Joel. Apparemment, tout pouvait le tuer, c’était fascinant. La nuit suivante, je lui ai demandé de me retrouver dans la cabane de sciences, près du squelette. Je lui ai proposé de m’accompagner au mariage. Mais c’était pas un rencart, hein ! On allait juste avoir besoin de tous les renforts qu’on pouvait trouver…

- On est arrivés juste à temps. Ils se mariaient dans le cimetière, et moi, je devais jeter des fleurs fanées dans l’allée. Quant à mon frère, il portait l’alliance - il était sensé la jeter dans les toilettes, mais visiblement, il avait échoué... Notre oncle, dis donc, il était salement mordu ! Et on a pas réussi à empêcher le mariage… Et bien sûr, qui est-ce qui s’est retrouvé avec le bouquet ? Joel a dit que j’allais être obligée de me marier, et j’ai failli lui faire bouffer le bouquet, ruban compris ! Et puis ils sont partis en lune de miel… A Hawai.

- Et bien sûr, on a été obligés de retourner à la colo… On a reçu une lettre de notre oncle qui disait qu’il ne nous verrait plus jamais. Cette folle allait le tuer, j’en étais certaine !

- Justement, Joel n’était pas si inutile. Il avait une collection de cartes de Psychopathes et Serial Killers célèbres… Et dedans, il y avait la Veuve Noire. Deb. Elle avait tué trois maris riches… Et le prochain, c’était notre oncle.

- On faisait pas du tout attention au speech des animateurs… Jusqu’à ce que j’entende mon nom. Ils m’avaient choisie pour jouer Pocahontas. Ils voulaient mourir, ma parole ! Apparemment, c’était un spectacle sur le premier Thanksgiving - et c’était vraiment, vraiment raciste contre les indiens dont j’étais sensée être la chef. Pocahontas, chef des indiens, d’ailleurs ?! J’ai fini par lui dire que son spectacle était nul… Et là, retour à la cabane d’harmonie… Pour une séance de torture en bonne et due forme. Leur arme ? Des dessins animés. On a enduré ça toute la journée - un Addams n’implore jamais la pitié de ses bourreaux - et à la nuit tombée, encore sous le choc, on a finalement été relâchés. Du coup, j’ai menti et j’ai dit que je voulais sourire, et être gentille, et jouer Pocahontas comme ils le voulaient. Faire semblant était le seul moyen de s’évader. Bon, au moins, j’étais pas une dinde comme mon frère ! Joel, lui, était Running Bear, le fiancé de Pocahontas. Achevez-moi !

- Et au moment de s’asseoir à table, on a changé le script. Je les ai accusés d’avoir volé nos terres. A cause d’eux, dans très longtemps, mes descendants (ceux de Pocahontas) devraient vivre dans des caravanes et vendre des bracelets sur le bord de la route pendant qu’ils vivraient dans des penthouse et joueraient au golf. Donc, les dieux de la tribu nous avaient dit de ne pas leur faire confiance. Et donc, j’avais décidé de la scalper et de brûler son village. Et on a vraiment mis le feu au décor ! On a renversé les bancs du public, on a attaché blondinette à un poteau et on a balancé des tartes à la crème à ses parents. On a même ligoté les animateurs à une broche.

- On s’est évadés, et j’étais prête à emmener Joel… Mais il voulait retourner regarder le campement brûler. Difficile de contester ça. J’y serais bien allée moi-même… Si j’avais pas eu un oncle à sauver ! Il a dit qu’il ne m’oublierait jamais parce que j’étais trop bizarre, j’ai dit que des forces nous séparaient - les animateurs, et la cinquième ! Il m’a appelée “Cara mia”, je l’ai appelé “Mon cher” pour faire comme maman, et puis on a failli s’embrasser à travers le grillage… Ouais, non, beurk ! Et puis mon frère m’a cherchée avec le minibus du camping. Heureusement qu’il a rien vu !

- Quand on est arrivés à la maison… L’autre folle furieuse de nounou avait ligoté nos parents, grand-maman, notre oncle et Max, l’ancien majordome, aux chaises électriques du grenier. Elle était en train de leur expliquer, diaporama à l’appui, que sa vie était tragique et qu’elle voulait qu’on l’aime et qu’on lui offre des bijoux… Et puis elle a essayé d’actionner la manivelle… Mais avec mon frère, on a reconnecté des cables et c’est elle qui a fini électrocutée.

- Au final, à l’anniversaire de mon frère, mon oncle a rencontré une nouvelle femme, la nounou de mon cousin. Elle est chauve elle aussi, ils sont faits l’un pour l’autre.

- Dehors, on a parlé avec Joel. Il m’a demandé si un jour, je voudrais me marier et avoir des enfants. Non. Et si je trouvais un homme qui m’adorait et me vénérait, qui ferait n’importe quoi pour moi, qui serait mon esclave dévoué ? Je le plaindrais. Puis il a laissé une fleur fanée sur la tombe de Debbie en disant qu’elle était malade. Mais elle n’était pas malade, juste négligente. Moi, si je voulais tuer mon mari, je le ferais, et je me ferais pas prendre ! Comment ? En l’effrayant à mort.  Il ne me croyait pas… Alors, je lui ai fait la peur de sa vie ! D’ailleurs, il s’est enfui en courant. Tant pis. Il reviendra, ou pas, c’est son problème.

- A la fête, Max, le majordome, a joué de l’orgue. A un moment, j’ai même fait un peu de violoncelle - j’adore les tonalités sombres du violoncelle ! Mais le truc que personne n’avait vu venir… Sa musique a eu tellement de succès ! Et la femme de notre cousin lui a dit “vous devriez faire des concerts !” Il a commencé à en faire… Et puis, le succès lui est monté à la tête, et il voulait faire le tour du monde et arrêter de travailler. Mon père nous a dit qu’il allait lui faire entendre raison. Et puis, il est revenu, et avec sourire mystérieux, il nous a dit : “Il nous faut un nouveau majordome. L’ancien a… perdu la tête.”

- Mes parents ont donc posté une petite [url=https://www.zupimages.net/up/21/42/l9gr.jpg]annonce[/url] dans le journal. Vous vous rappelez du jeu [i]Spook the nanny[/i] ? Avec mon frère - mes frères, pour être honnête - on en a inventé un nouveau : [i]Spook the butler[/i]. Ils se sont enfuis les uns après les autres, au désespoir de mes parents qui ne savaient plus ou chercher… Et puis, un nouveau est arrivé, un rouquin vêtu de rouge qui n’a pas eu l’air perturbé de voir son prédecesseur s’enfuir en courant et en hurlant “Ne me faites pas de mal !” Du coup, je lui ai tendu le couteau que j’avais tendu au fuyard, lame vers l’avant… Et au lieu de s’effrayer, il me l’a pris et a commencé à jouer avec. Puis il me l’a rendu et m’a demandé ce que je comptais en faire : tuer mon frère. Il s’est mis à hurler de rire, et j’ai su qu’il était l’homme qu’il nous fallait. Il a proposé de m’aider si j’acceptais ses services, et j’ai dit à Père et Mère qu’il serait [i]parfait[/i]!

- Ca fait quelques mois qu’il est à notre service, et je trouve qu’il est beaucoup plus marrant à essayer de tuer que mon frère !

- Et à part ça... Ca fait trois ans, depuis mon entrée au collège-lycée, que je suis membre du Club de tragédie dramatique de l’école - aussi appelé "Amicale des fans de Shakespeare". Et là, le président du club a eu son bac. Et à la rentrée de septembre, devinez qui est devenue la nouvelle présidente ?
Autant qu'on va bien se marrer !
</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR l'HISTORIQUE

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<div id="histo" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 21 ans (née le 31 octobre 1400)
<label>Situation amoureuse :</label> Célibataire
<label>Lieu d'habitation :</label> Itinérante, née à Ravenbarrow arrive à Orkney en Août 1421
<label>Type :</label> Sorcière
<label>Métier :</label> Artiste de Cirque
<label>Classe sociale :</label> Roturière et déserteuse
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité historique</span></div><span>- Fille de Calpurnia Addams, sorcière de Ravenbarrow qui a été brûlée sur le bûcher en 1406 (quand Wednesday avait cinq ans). (On raconte qu’elle a dansé nue sur la place publique et envoûté un officier civil). Père inconnu. A grandi sans souvenirs de sa mère.

- A été recueillie par un boulanger et sa femme, qui menaient une vie plus que confortable. Ils avaient déjà des enfants, mais ont eu pitié de la petite orpheline.

- Wednesday s’est avérée être une petite fille étrange. Elle voulait toujours porter du noir, se drapant dans des châles sombres pour masquer ses adorables robes pastel, allant jusqu’à les assombrir avec de la suie ou de la boue. Elle avait des façons de parler, une vision du monde, des plus déconcertantes, voire sinistres.

- A l’âge de dix ans, selon la coutume, il était temps pour Wednesday de commencer un apprentissage. Ses parents ont très vite réalisé qu’elle ne pourrait pas participer aux affaires familiales. On la mettait à la caisse ?  Elle disait “Oui, ce sont des doigts de fées, faits avec de vraies fées ! Vous en voulez combien ?” Et faisait pleurer les enfants, dont les parents quittaient la boutique sans avoir rien acheté. On la mettait en cuisine ? Ses bonhommes en pain d’épices étaient des reproductions macabres des dernières exécutions ayant eu lieu dans le royaume. Une autre fois, elle déclencha on ne savait trop comment une explosion dans la cuisine, dont elle fut bannie.

- Ils lui ont donc chercher une autre position. Ils ont été conciliant quant à ses envies, pas parce qu’ils étaient particulièrement à l’écoute, mais plutôt parce qu’avec une personnalité comme la sienne, de nombreux métiers lui seraient tout simplement inaccessibles. Et plus elle ratait d’apprentissages à l’extérieur… Plus il lui serait difficile de se faire embaucher ailleurs. Mais, même parmi les choses qui l’intéressaient, c’était compliqué

- Chez le boucher, les clients s’enfuyaient en voyant cette adorable gamine brandissant un hachoir à viande avec un sourire sadique. Chez le forgeron, ses réalisations étaient des visions de cauchemar dont aucun client ne voulait… Aux pompes funéraires, son maitre d’apprentissage faillit avoir une crise cardiaque lorsqu’il la trouva en train de faire la sieste dans un cercueil, et qu’elle se redressa pour lui dire bonjour. Et j’en passe et des meilleurs…

- Et finalement, ils arrivèrent à cours d’idées. Enfin… Wednesday en avait bien une, d’idée ! Bourreau… Mais c’était là que ses parents adoptifs traçaient la limite. Non, non, et non… La fille d’une respectable famille d’artisans, ne [i]pouvait pas[/i] être bourreau… Que diraient les voisins ? Dommage, quand même… Décapiter des gens auraient sûrement été [i]beaucoup[/i] plus marrant que de décapiter des bonshommes de neige et des bonshommes en pain d’épices ! Mais bon…

- Il ne restait plus qu’une seule solution : le mariage ! S’ils arrivaient à duper un bougre assez longtemps pour qu’elle l’épouse, ensuite, elle serait de sa responsabilité. Et si elle aidait son mari à tenir sa boutique, elle aurait un travail. Pour Wednesday, ce fut l’occasion d’un nouveau jeu : [i]Scare the groom[/i]. Les règles étaient simplissimes : faire croire à son fiancé qu’elle allait le tuer. S’il s’effrayait et renonçait, elle avait gagné. Bonus s’il s’enfuyait en courant et en hurlant. Double bonus si elle arrivait à en faire crever un de terreur. (Elle se fit une fausse joie quand l’un d’eux tomba dans les pommes, mais non, il était bien vivant !)

- Ses parents cherchaient encore une autre solution quand finalement, puisque Wednesday n’avait pas trouvé sa voie et qu’elle avait dix-huit ans, la lettre de conscription arriva. Sa mère demanda “Qu’allons-nous faire ?” Son père jeta son chapeau par terre et s’exclama “Qu’elle aille à l’armée ! On a tout fait pour cette gosse de sorcière, et c’est comme ça qu’elle nous remercie ? Je m’en lave les mains ! “ (C’était la première fois que Wednesday - qui écoutait bien sûr aux portes - entendait parler de sa mère biologique, et quelques recherches lui apprirent rapidement toutes la vérité.

- Wednesday partit à l’armée. Pourquoi pas, après tout ? Tuer des gens pour gagner sa vie, après tout, elle en avait rêvé ! Mais au final, elle n’arriva jamais jusqu’au champ de bataille. Pourquoi ? Parce que l’entrainement était barbant au possible, et que Wednesday n’aimait pas, mais alors pas [i]du tout[/i] recevoir des ordres. Et finalement, une nuit où elle était à l’isolement, elle en eut marre ! Alors, elle crocheta la serrure de sa cellule et sortit. Quand le garde qui gardait la zone d’isolement voulut l’en empêcher, elle lui murmura toutes les choses qu’elle lui ferait s’il l’approchait… Puis lui recommanda de faire semblant de dormir. Cela suffit à le faire hésiter… Assez longtemps pour qu’elle l’assomme. Et c’est ainsi que Wednesday déserta l’armée avant même d’avoir goûté au champ de bataille.

- Elle tenta de rejoindre une ville - cette fois, c’était décidé, elle deviendrait l’apprentie d’un bourreau ! En plus, c’était plus difficile d’appréhender une fugitive si elle portait la cagoule de l’exécuteur, on ne la reconnaitrait pas, on y penserait pas, le déguisement était parfait ! Mais sur la route, Wednesday croisa un cirque itinérant qui était coincé par la chute d’un arbre.  Elle fit exploser l’arbre - après tout, elle aussi avait besoin de passer - et ils lui offrirent de faire un bout de chemin avec eux.

- Wednesday rejoignit donc le cirque en mai 1419, et elle s’y sentit si bien qu’elle y resta. Cadette du cirque, elle en est aussi un peu devenue la mascotte. Ici, personne ne la juge pour ses bizarreries. Personne ne lui demande de choisir un métier non plus ; au contraire, tous son ravis de lui apprendre des trucs et de la laisser participer à leurs numéros. Elle a donc plus s’essayer au lancer de couteaux, au domptage de fauves (Wednesday a désormais de nombreux compagnons à deux pattes, quatre pattes… et plus), à des tours de magie comme de découper quelqu’un en deux, à la roue de la mort… Et son prochain projet, c’est l’avalage de sabres !

- La vieille diseuse de bonne aventure du cirque, bien plus perspicace et plus capable qu’il n’y parait, l’a aidée à accéder à ses souvenirs… Et Wednesday est fière d’être la fille de la sorcière Calpurnia Addams, au point qu’elle a repris son nom de naissance ! La voyante essaie de l’aider à apprendre à maitriser ses propres pouvoirs… Mais pas facile pour une vieille dame qui n’est qu’une amatrice de magie, connaissant quelques astuces sans être elle-même dotée de pouvoirs. Wednesday espère se trouver un jour une sorcière digne de ce nom pour lui apprendre la magie.

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-- ZONE HISTOIRE POUR LE SURNATUREL

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<div id="surnat" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 16 ans (née le 31 octobre 1980, disparition de son monde en 1994)
<label>Situation amoureuse :</label> Célibataire (bon, ok : c'est compliqué...)
<label>Quartier :</label> Blackridge
<label>Type :</label> Sorcière
<label>Particularités/pouvoirs :</label> Lancer des sorts et des malédictions (mais n'a pas encore commencé à apprendre)
<label>Métier :</label> Gosse de riches
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité surnaturelle</span></div><span>[i]Réalité principale temporaire en attendant la série de Tim Burton. Ne sera pas jouée d'ici là.[/i]

- C’est à un enterrement que mes parents se sont rencontrés. Ils sont tombés amoureux aussitôt, et ils se sont fiancés le soir même. Puis mariés, bien sûr ! Ils ont eu deux enfants, moi, et mon petit frère Pugsley. Nous formons une famille avec ses propres traditions. Par exemple, essayer de viser les choriste de Noël avec de l’huile bouillante, ou alors, réveiller les morts à Halloween. Mais notre plus grande tradition, c’était notre séance de spiritisme annuelle pour contacter mon oncle Fester, le frère ainé de mon père. Il était parti 25 ans plus tôt, à cause d’une terrible dispute causée par des histoires de filles - les jumelles siamoises Flora et Fauna.

- On vivait avec Père, Mère, Grand-maman, Lurch le majordome, et la Chose, une main très sympathique.

- Et puis, un jour, quand j’avais douze ans, oncle Fester a frappé à la porte. En pleine séance de spiritisme pour l’invoquer, figurez-vous ! Il est arrivé avec un docteur, Greta Pinder-Schloss, qui nous a expliqué qu’elle l’avait trouvé près du triangle des Bermudes, et qu’il ne pouvait rester qu’une semaine, car il avait des choses à y faire. Moi, j’ai tout de suite trouvé ça louche : le triangle, personne n’en sort ! Je le sais bien : j’en suis fan. Et puis, il était bizarre. Mère et moi étions les seules à nous méfier, au début, mais peu à peu, la suspicion a gagné mon père, qui a décidé que c’était un imposteur.

- Alors, le docteur [i]Pinder-Scheiss[/i] est revenue pour le convaincre. Mouais, elle aussi elle était louche, à mon avis ! Sauf que pendant ce temps, oncle Fester nous a surpris, mon frère et moi, en train de chercher à se pourfendre au sabre - on répétait une pièce de Shakespeare. Et alors, il nous a donné un cours sur l’art et la manière de pourfendre au sabre. Et ensuite, il nous a lu un livre délicieusement glauque sur les blessures, les cicatrices et les infections. Et enfin, on a fait exploser des choses ensemble. Et là, j’en suis devenue sûre et certaine : c’était [i]vraiment[/i] un Addams !

- Mais après avoir participé à nos répétitions et avoir promis de nous aider à faire le sang et le pus pour le spectacle, il nous a lâchés. Il avait changé d’avis ! Et donc, on a fait le spectacle seuls. On avait pas besoin de lui ! De toute manière, après l’épouvantable chanson des fleurs de nos prédecesseurs, on ne pouvait que dominer la scène ! Et pour la dominer, avec nos effets spéciaux, on l’a dominée ! Il y avait du sang [i]partout[/i], c’était magnifique ! On a eu droit à une telle ovation ! Enfin bon, surtout de la part de notre famille. Y compris oncle Fester, qui était quand même venu, finalement. J’ai décidé de lui pardonner, et il a même promis de m’emmener un jour dans le triangle des Bermudes.

- Mes parents ont organisé une grande fête avec toute la famille pour fêter son retour. Je me suis retrouvée coincée à danser avec un cousin plouc, c’était l’horreur ! Je commençait à me demander si j’allais faire mine de trébucher pour le planter sur la hallebarde d’une statue l’air de rien, quand Mère est venue à ma rescousse : elle m’a envoyé chercher Oncle Fester.

- Mais là, dans sa chambre, je l’ai surpris à comploter avec [i]Wunder-Scheiss[/i] pour parler d’aller dans le caveau - celui où mon père garde sa fortune. Elle lui rasait le crâne, alors que mon oncle, il est sensé être chauve ! Ils ont essayé de m’attrapper, mais je me suis enfuie par mon tunnel secret.

- J’entendais la musique de la Mamushka, et j’aurais adoré y être - on en voit pas tous les jours, c’est un évènement historique ! Elle a été dansée quand Néron jouait du violon, à Waterloo et pour Jack l’éventreur - mais j’ai dû me réfugier dans le cimetière. Au final, je me suis endormie dans le caveau, et c’est mon père qui m’a retrouvée.

- On est rentrés à la maison, mais là, l’avocat de mon père ne voulait pas qu’on rentre, parce qu’Oncle Fester nous avait expulsé. C’était bien la meilleure, ça ! Je leur ai dit, que c’était un imposteur, et mon père a décidé de se représenter lui-même en justice !

- Mais le juge, notre voisin, était de mèche… Père n’arrêtait pas de casser ses fenêtres avec des balles de golf depuis la terrasse… Alors il a tranché pour ce sale traître ! Et il a jeté toutes les balles de mon père.

- Du coup, on a cherché quelques petites affaires, et on a dû partir dans un motel. Le comble, pour une famille comme la notre ! Mère, elle, a trouvé un travail dans un jardin d’enfants - bizarrement, les enfants ont eu du mal avec ses histoires, pourtant, moi j’adorais ! La Chose est devenue postier. Elle nous a encouragés à ne pas laisser tomber, alors on a essayé d’apporter notre pierre à l’édifice en vendant de la limonade à l’arsenic. Bizarrement, on a pas eu beaucoup de succès. Une fille s’est même permise de critiquer ! Alors que notre limonade était faite avec de vrais citrons, mais ses cookies scouts, ils n’étaient pas faits avec de vrais scouts… C’est là qu’elle s’est enfuie en courant. Mais père, lui… N’était plus lui-même !

- Mère a essayé de retourner à la maison pour confronter Fester - Gordon - et a été capturée par le docteur et l’avocat. La Chose a tout vu et a prévenu Père, qui est parti la chercher… Mais on allait pas rester là sans rien faire ! Alors, avec mon frère, on est paris creuser la tombe du Docteur Wunder-Storben et de l’avocat. Et puis, ils ont fini par tomber dedans tous seuls. J’avais toujours rêvé d’enterrer quelqu’un vivant !

- Et donc, il s’est avéré que notre oncle… était vraiment notre oncle ! Le docteur Wunder-Scam l’avait vraiment trouvé dans le triangle des Bermudes, amnésique, et cette vieille folle lui avait fait croire qu’elle était sa mère ! Comme si un homme avec le charme de mon oncle pouvait descendre d’une saleté comme elle ! Il a pris un coup de jus grâce au livre aux tempêtes, qui lui a redonné la mémoire… Et il a décidé de rester avec nous… Je l’avais bien dit, que c’était un Addams !

- Et on a eu une autre bonne nouvelle : Mère était enceinte. Neuf mois plus tard, il est arrivé, et c’était un vrai petit Addams : les cheveux sombres, le regard déterminé, et la moustache fière ! Il ne s’endormait que si on lui amenait sa monstrueuse statue d’ours. Tous les adultes s’extasiaient en le voyant… Et moi, j’ai dit à Pugsley que, s’il restait, l’un de nous devrait mourir…. Et les parents n’avaient besoin que d’un seul fils.

- Bon, on allait quand même pas l’exclure… Alors, on l’a “invité” à participer à nos jeux et à nos expériences scientifiques… Surtout les plus métaphysiques, si vous voyez ce que je veux dire... Ouais, en clair : on a essayé de le tuer. Nos parents nous ont réunis dans le salon, et ils nous ont demandé pourquoi on le détestait. Mais on le détestait pas, nous… On voulait juste “jouer” avec lui ! Ils nous ont expliqué que c’était plus vrai, qu’un enfant doit mourir pour faire de la place à un bébé. Et Père et Oncle Fester nous ont expliqué qu’on devait pas jouer à se battre avec le bébé… en jouant à se battre ensemble. Alors moi, j’ai rien compris…

- Bon, avec le recul, on en faisait un peu trop, quand même… Mère n’en pouvait plus, et père a décidé de nous trouver une nourrice. Et puis, ils en ont essayé beaucoup… Mais elles ont filé les une après les autres. La givrée de l’environnement, l’autoritaire, celle avec Polly la marionnette… Aucune ne m’a résisté. C’était devenu un jeu : [i]Spook the nanny[/i] ! Figurez-vous qu’il a même été conseillé à mes parents de prendre un doberman comme nounou…

- Et puis il y en a eu une nouvelle. [i]Deb[/i]. Elle était louche, encore plus louche qu’Oncle Fester à l’époque. Dès le premier jour, je l’ai prise à fouiller dans les papiers d’oncle Fester, d’ailleurs. Et bien sûr, lui, il commençait déjà à s’enticher d’elle !

- Je l’ai confrontée… Et elle nous a expédiés au Camp Chippewa. En colonie de vacances… Beurk ! Le premier jour, ils m’ont demandé de sauver une blondinette de la noyade… Sauf que je sais pas nager. Par contre, pour les histoires de fantômes, j’étais la meilleure ! Quelle idée aussi, d’affronter une Addams sur son propre terrain !

- Et le lendemain, on a reçu une lettre : oncle Fester se mariait… Avec la nounou. Blondinette nous a traités de gens du crique, et les adultes ont essayé de nous forcer à faire un câlin de groupe. Alors, on leur a dit qu’on était pas timides - juste contagieux. Et là, ils ont décidé de nous enfermer dans la cabane d’harmonie. C’était tellement mignon… un vrai cauchemar ! On a été rejoints par un garçon, Joel, qui avait refusé de monter à cheval et de faire une cabane à oiseaux. Pas par rébellion, hein - il voulait juste lire. Il s’est mis à hurler en voyant l’affiche d’un certain Mickael Jackson - la seule image semi-décente dans cette cabane, pourtant. Blafard, vêtu de noir, le nez ravagé et les lèvres rouges sang… Il aurait [i]presque[/i] pu passer pour un Addams !

- Le soir même, on a essayé de s’évader pour empêcher oncle Fester de commettre la plus grosse erreur de sa vie… Et puis Joel a voulu venir “nous aider”, et il a amené l’Inquisition du camping sur nos trousses (je ne veux même pas savoir quel autre nom débile ils se donnaient). Et là, direct sur place, ils nous en embarqués dans un étrange culte musical à leur Seigneur Kumbaya… C’était terrifiant… mais franchement, moi je lui aurait bien sacrifié toute leur bande de bras cassés, à ce Kumbaya, s’il nous avait laissé partir en échange !

- J’avais rien à faire de mieux, alors, j’ai fini par parler avec Joel. Apparemment, tout pouvait le tuer, c’était fascinant. La nuit suivante, je lui ai demandé de me retrouver dans la cabane de sciences, près du squelette. Je lui ai proposé de m’accompagner au mariage. Mais c’était pas un rencart, hein ! On allait juste avoir besoin de tous les renforts qu’on pouvait trouver…

- On est arrivés juste à temps. Ils se mariaient dans le cimetière, et moi, je devais jeter des fleurs fanées dans l’allée. Quant à Pugsley, il portait le coussin sur lequel La Chose tenait l’alliance. Lurch, lui, jouait de l’orgue, et c’était le Cousin Itt qui officiait la cérémonie. Oncle Fester, dis donc, il était salement mordu ! Et on a pas réussi à empêcher le mariage… Et bien sûr, qui est-ce qui s’est retrouvé avec le bouquet ? Joel a dit que j’allais être obligée de me marié, et j’ai failli lui faire bouffer le bouquet, ruban compris ! Et puis ils sont partis en lune de miel… A Hawai.

- Et bien sûr, on a été obligés de retourner à la colo… On a reçu une lettre d’Oncle Fester qui disait qu’il ne nous verrait plus jamais. Cette folle allait le tuer, j’en étais certaine !

- Justement, Joel n’était pas si inutile. Il avait une collection de cartes de Psychopathes et Serial Killers célèbres… Et dedans, il y avait la Veuve Noire. Deb. Elle avait tué trois maris riches… Et le prochain, c’était Oncle Fester.

- On faisait pas du tout attention au speech des animateurs… Jusqu’à ce que j’entende mon nom. Ils m’avaient choisie pour jouer Pocahontas. Ils voulaient mourir, ma parole ! Apparemment, c’était un spectacle sur le premier Thanksgiving - et c’était vraiment, vraiment raciste contre les indiens dont j’étais sensée être la chef. Pocahontas, chef des indiens, d’ailleurs ?! J’ai fini par lui dire que son spectacle était nul… Et là, retour à la cabane d’harmonie… Pour une séance de torture en bonne et due forme. Leur arme ? Des dessins animés. On a enduré ça toute la journée - un Addams n’implore jamais la pitié de ses bourreaux - et à la nuit tombée, encore sous le choc, on a finalement été relâchés. Du coup, j’ai menti et j’ai dit que je voulais sourire, et être gentille, et jouer Pocahontas comme ils le voulaient. Faire semblant était le seul moyen de s’évader. Bon, au moins, j’étais pas une dinde comme mon frère ! Joel, lui, était Running Bear, le fiancé de Pocahontas. Achevez-moi !

- Et au moment de s’asseoir à table, on a changé le script. Je les ai accusés d’avoir volé nos terres. A cause d’eux, dans très longtemps, mes descendants (ceux de Pocahontas) devraient vivre dans des caravanes et vendre des bracelets sur le bord de la route pendant qu’ils vivraient dans des penthouse et joueraient au golf. Donc, les dieux de la tribu nous avaient dit de ne pas leur faire confiance. Et donc, j’avais décidé de la scalper et de brûler son village. Et on a vraiment mis le feu au décor ! On a renversé les bancs du public, on a attaché blondinette à un poteau et on a balancé des tartes à la crème à ses parents. On a même ligoté les animateurs à une broche.

- On s’est évadés, et j’étais prête à emmener Joel… Mais il voulait retourner regarder le campement brûler. Difficile de contester ça. J’y serais bien allée moi-même… Si j’avais pas eu un oncle à sauver ! Il a dit qu’il ne m’oublierait jamais parce que j’étais trop bizarre, j’ai dit que des forces nous séparaient - les animateurs, et la cinquième ! Il m’a appelée “Cara mia”, je l’ai appelé “Mon cher”, on s’est embrassés à travers le grillage… Et puis on s’est essuyé les lèvres. Ouais, non, beurk. Et puis mon frère m’a cherchée avec le minibus du camping. Heureusement qu’il a rien vu !

- Quand on est arrivés à la maison, Oncle Fester était déjà rentré. J’en voulais à mes parents, mais pas assez pour ne pas être ravie de le revoir ! Mais dans le berceau, Pubert était bizarre… Blond et gazouillant, c’était horrible !

- Et là, Debbie est arrivée avec un fusil en gueulant “BELLE-FAMILLE !” Et elle nous a tous ligotés aux chaises électriques du grenier. Et diaporama à l’appui, elle nous a expliqué qu’elle avait tué ses parents pour lui avoir offert la mauvaise barbie. Et puis ses trois maris parce qu’ils ne lui donnaient pas ce qu’elle voulait. Incendie, meutre à la hache… C’est qu’elle aurait presque pu faire une épouse Addams correcte si elle n’avais pas trahi Oncle Fester - et si elle n’avait pas un tel goût pour le pastel !

- Juste alors qu’elle actionnait la poignée, bébé Pubert a connecté deux cables et il l’a électrocutée. Son premier meurtre… Ils grandissent si vite !

- Et aux un ans de Pubert, Cousin Itt et sa femme sont venus avec leur bébé What et sa nounou, Dementia. Elle était chauve, et oncle Fester est tombé amoureux. Joel aussi était venu. Il avait une petite moustache, c’était parfaitement dérangeant. La Chose a allumé les bougies, Lurch a joué de l’orgue.

- Dehors, on a parlé avec Joel. Il m’a demandé si un jour, je voudrais me marier et avoir des enfants. Non. Et si je trouvais un homme qui m’adorait et me vénérait, qui ferait n’importe quoi pour moi, qui serait mon esclave dévoué ? Je le plaindrais. Puis il a laissé une fleur fanée sur la tombe de Debbie en disant qu’elle était malade. Mais elle n’était pas malade, juste négligente. Moi, si je voulais tuer mon mari, je le ferais, et je me ferais pas prendre ! Comment ? En l’effrayant à mort.  Il ne me croyait pas… Alors, je lui ai fait une petite frayeur : A mon signal, La Chose est sortie de la tombe de Debbie et lui a attrappé la main. Il a hurlé pendant que je souriais.

- Et c’est au moment précis où Pubert a soufflé ses bougies que le monde s’est effondré sur lui-même…  C’était la tempête la plus sublime que j’ai jamais vue. Je vous le dis, ce gosse, il ira loin dans la vie ! Un étrange portail est alors apparu dans le salon. On s’est regardés, on s’est tous pris par la main - enfin, j’ai pris Joel par le coude… Parce que prendre un garçon par la main, beurk ! - et on a franchi le portail. Et là, on s’est retrouvé dans une maison, pas la notre, mais à l’esthéthique plutôt sympathique. La vue était bien différente, mais il y avait un cimetière dehors… Alors, on a fini la fête !

- Et depuis, ben, je vis avec mes parents, quoi. Notre vie a pas trop changé, au final. Je suis arrivée en 2019, date locale, il y a deux ans. J'avais 14 ans, donc maintenant, j'en ai 16.
</span></div></div><!-- -- ZONE HISTOIRE POUR LE FUTURISTE --> <div id="futur" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!-- --><label>Âge :</label> Ici. <label>Situation amoureuse :</label> Ici. <label>planete :</label> Ici. <label>Type :</label> Ici. <label>Particularités :</label> S'il a des particularités... <label>Métier :</label> Ici. </div></div><!-- --><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité futuriste</span></div><span>[b]Rappel :[/b] Cette réalité est forcément une [i]réalité alternative.[/i]</span></div></div><!-- --><div class="zone-boutons"><span id="apo-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/08ff6v0qpg3r6zk/biohazard-danger-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="city-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/lg2c8hq0nguxfbh/house-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="histo-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/b1szoujwzpxc8pg/castle-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="surnat-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/szzughe2a3mo99e/satanism-satan-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="futur-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/1judagnej58pd5q/Frame%201.svg?raw=1"></span></div></div><!--

--ZONE INFORMATION DU JOUEUR--

--><div class="presentation-joueur"><div class="icon"><span style=";"></span></div><div class="bloc-joueur"><titre><n1>ta</n1><n2>présentation</n2></titre><div class="infos-joueur"><label>Pseudo :</label> Blue
<label>Âge :</label> 26 ans
<label>Pays :</label> France
<label>Comment as-tu trouvé le forum :</label> Inej / Douxie / Klaus
<label>Pré-lien/scénario :</label> Enfant des employeurs de Grell Sutcliffe
<label>Dis ce que tu veux :</label> I’m back !!!

<label>Je réserve mon personnage :</label>
[code]<oeuvre>The Addams Family</oeuvre>

<perso><reserve>Wednesday Addams</reserve></perso> <feat>ft. Jenna Ortega</feat>[/code]
</div></div></div></div>
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