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Admin
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Image : Sarah Black Blood-tears-boku-no-hero-academia-43898505-300-169
Surnat - Métier : fsdfsg
Profil - Messages : 216
City - Date d'arrivée : 08/06/2021
Histo - Localisation : Test
https://dr-test-v2.forumactif.com/t1-votre-1er-sujet
# 06.07.22 20:34
Code:
<div class="presensation-v2"><div class="zone-haut"><div class="info-perso pseudo">Sarah Black</div><div class="image-perso" style="background: url('https://64.media.tumblr.com/5259cb071ef0379f6f61615c9ccd7704/4898d220af0cfc31-77/s400x600/556bb6118c179c0763cba92fa6a02ee1b72cf079.gifv');background-size: cover;background-position: 50%;"></div><div class="info-perso">Red Notice</div></div><!--


--><div class="zone-resume"><div class="avatar-perso" style="background: url('https://64.media.tumblr.com/dc21b5a97d27ad027d093743beeb73d3/tumblr_p02v33L2pP1w5h4v2o6_250.png');background-size: cover;"></div><div class="infos"><label>Nom :</label> Black
<label>Prénom :</label> Sarah
<label>Surnom :</label> The Bishop, Meilleure voleuse d'art au monde
<label>Date de naissance, lieu :</label> Inconnu
<label>Orientation sexuelle :</label> Hétérosexuelle
<label>Type :</label> Humaine
<label>Oeuvre d'origine :</label> Film [i]Red Notice[/i]
<label>Saison/Film/Jeu choisi(e) :</label> Film [i]Red Notice[/i]
<label>Timeline fixe ou libre :</label> Timeline fixe (après la fin du film)
<label>Réalité principale :</label> City
<label>Groupe :</label> The Chaotic Mess
<label>Rang :</label> Chaotique Neutre
<label>Avatar :</label> Gal Gadot
<label>Crédits :</label> Avatars : Neverland, I’m the dreamer (fiche) ; Signature : Unleash the fanboy ; gifs Galvarsano, Sharrnat, inconnu</div></div><!--

--><div class="caractere-perso"><titre><n1>ton</n1><n2>caractère</n2></titre><div class="caractere">Sarah est ambitieuse, persuadée qu'elle mérite le meilleur et prête à tout pour l'obtenir, qu'il s'agisse d'oeuvres d'art (city, réalité d'origine), de confort (histo), carrément de pouvoir (surnat') ou simplement de connaissances (apo'). Elle n'a pas peur de devoir mentir et duper les autres pour parvenir à ses fins, elle est d'ailleurs une fine manipulatrice avec un véritable don pour se faire passer pour "la gentille" (sauf apo').

Elle sait être loyale, mais n'hésitera pas à faire semblant de trahir un proche pour mieux lui rendre service. Elle est ainsi capable de torturer John, l'homme qu'elle aime, afin de lui permettre de gagner la confiance de celui qu'il essaie de duper. Elle sait conserver son masque en toutes circonstances.

Elle est extrêment rusée et à toujours un coup d'avance, aussi imprévisible que la pièce d'échecs qui lui a donné son surnom.

Elle n'est pas sans pitié et, même si elle a tendance à dire que "tous les coups sont permis", elle ne prend pas le moindre plaisir à faire souffrir les autres (sauf ceux qui s'en sont pris personnellement à elle ou ses proches, là, elle devient sadique car elle est terriblement rancunière). Par ailleurs, elle préfèrera renoncer à un gain potentiel que s'en prendre à un enfant pour arriver à ses fins. Elle a donc une conscience morale.
</div></div><!--

--><citation>"You can have excuses or results. Not both."</citation> <!--
--><div class="zone-histoire">
<div class="zone-images"><div class="image-haut"><span style="background: url('https://data.whicdn.com/images/293273566/original.gif');background-size: cover;"></span></div><div class="images-bas"><span style="background: url('https://c.tenor.com/BJD1F9h8pTUAAAAC/red-notice-ryan-reynolds.gif');background-size: cover;"></span><span style="background: url('https://i.pinimg.com/originals/55/06/1a/55061a34b35f41b111b7bde2705a1a4b.gif');background-size: cover;"></span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR L'APOCALYPSE

--><div id="apo" class="histoire zone-visible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 37 ans
<label>Situation amoureuse :</label> Célibataire (future relation avec Jonah)
<label>Ancien métier :</label> Archéologue expérimentale
<label>Communauté :</label> Parking souterrain à partir de Décembre 2021
<label>Nouvelle fonction :</label> Mcgyver</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité apocalyptique</span></div><span>Je suis née à Rosh HaAyin, en Israël. Ma famille gérait une boutique d’antiquités. Mon père et mon cousin méprisaient ceux parmi leurs voisins qui proposaient à la revente des vêtements et autres babioles fabriquée en Chine, une pratique alors en plein essor, et se vantaient de proposer des pièces uniques, des fragments d’histoire de la terre de nos ancêtres.

J’étais fascinée par les trésors dont regorgeait sa boutique, qui pour moi était semblable à la caverne d’Ali Baba. Je pouvais passer des journées de vacances entières à ne rien faire d’autre qu’arpenter les allées, et à chaque fois, j’étais certaine de faire des découvertes. Je trouvais absurde d’avoir toutes ces choses seulement pour les poser sur une étagère et les regarder. Je voulais savoir d’où ils venaient, comprendre à quoi ils avaient servi, comment ils fonctionnaient.

Mais un jour d’été, quand j’avais neuf ans, j’ai cassé l’un des articles de mon père. Et là ! Il est devenu écarlate et il s’est mis à hurler. “Eizeh balegan!” (Quel bordel !) “Sarah ! Je t’ai déjà dit que ma marchandise est rare et fragile ! Ce ne sont pas des jouets ! On touche avec les yeux !” Et il m’a fichue à la porte du magasin pour le reste de l’après-midi, m’a envoyée jouer dehors avec les autres enfants.

J’y suis allée, un peu. Et puis, j’ai eu une idée. Je suis partie à la bibliothèque et j’ai passé le reste de la journée à lire des livres d’histoire. Des livres qui parlaient d’antiquité comme celles de la boutique de mon père. Et le lendemain, je lisais un bouquin que je lui avais emprunté quand un couple de clients étrangers sont venus voir un article dans le rayon au fond duquel j’avais mon petit recoin. Mon père et mon cousin renseignaient d’autres clients, alors, j’ai pris les choses en main. Et j’ai expliqué aux clients, dans mon anglais scolaire, que le vase qu’ils convoitaient n’était pas un vase, mais une amphore de type Yavneh. Celles-ci existaient depuis plus de trois mille ans, mais le modèle qui les intéressait n’avait que quelques siècles, et pouvaient-il imaginer la classe qu’ils auraient s’il servaient leur vin dans une amphore, comme aux banquets de la royauté d’antan ?

Mon père est arrivé, et il s’apprêtait à me reprocher d’avoir un objet dans les mains après notre conversation d’hier, quand mon cousin, qui m’observait à mon insu depuis quelques temps déjà, lui a fait signe de se taire. Les clients sont repartis avec leur amphore, et ils m’ont payé huit fois la valeur que mon père en aurait demandé. Il m’a grondée en voyant tout cet argent, en disant qu’il était un honnête marchand et qu’il n’arnaquait pas les gens, mais je lui ai montré une image de l’amphore dans le livre, en disant que je leur avais simplement révélé la valeur réelle de l’objet.
“Mazel Tov !” s’est alors exclamé mon père, avec une fierté à laquelle je ne m’attendais pas. Je lui ai souri, et je l’ai remercié. Il m’a rendu l’équivalent d’un cinquième de ce que j’avais gagné, pour me féliciter.

Et là, une idée m’est venue.
“Aba ! Si je fais d’autres ventes comme ça, tu me laisserais t’acheter des antiquités ?”
Il a été surpris, il a bien ri, et finalement, il a accepté. Et donc, avec mes petites commissions de vente (qui sont descendues à 10%, ç’aurait été trop beau), j’ai pu m’approvisionner en antiquités de toutes sortes pour expérimenter sur leur fonction, leur mode d’utilisation, leur résistance et toutes sortes d’autres choses.

A dix-huit ans, j’ai été envoyée en service militaire, comme tous les jeunes israélites issus de familles juives. J’ai passé les huit derniers mois à assurer la sécurité d’une archéologue américaine sur un site de fouilles. J’ai beaucoup observé, de loin, et parfois lors de mes heures de repos, de près. J’ai même pu lui poser quelques questions sur le sujet.

Et à vingt ans, quand mon service civique s’est terminé, je suis allée étudier l’Archéologie. D’abord en licence d’Histoire de l’Art et Archéologie à Tel Aviv, puis en master d’Archéologie Expérimentale à l’UC Davis en Californie, et enfin en doctorat, toujours en Californie. J’ai appris en arrivant aux Etats-Unis que je ne pouvais pas mettre “Sarah bat Shalom v’Kinneret” sur mes papiers, alors comme le nom de jeune fille de ma mère était Kinneret Schwartz, je me suis faite appeler “Sarah Black”.

Avec tout ça, quand j’ai eu mon diplôme en 2012, j’avais 28 ans, j’avais déjà eu l’opportunité de faire de nombreux stages et volontariat sur le terrain, et je n’ai eu aucun mal à obtenir un poste d’enseignante-chercheuse en archéologie expérimentale à l’université de Silvergate. J’ai pris un appartement proche de la fac, dans une maison bi-familiale du quartier que l’on appelait alors Brimstone Road, et j’ai commencé à proposer bénévolement des cours d’auto-défense dans diverses associations locales, en me basant sur mon entrainement au krav maga.

Ca a duré pendant cinq ans. J’ai eu quelques relations, mais rien de sérieux. J’étais la prof la plus populaire du département auprès des étudiants. Pourquoi ? Parce que j’organisais deux voyages par an. Pour l’un d’eux, j’emmenais un groupe d’étudiants triés sur le volet un site de fouilles. L’autre était l’apanage des première années. Je les emmenais camper pendant dix jours. La destination variait : dans les montagnes de Sierra Nevada en plein hiver ou dans le désert du Mojave en plein été, par exemple. Ils ne savaient jamais à quoi s’attendre et n’étaient autorisés à emmenés qu’un sac à dos par personne. Tout le reste, nous le construisions ensemble, à commencer par notre abri. C’était plus efficace que n’importe quel cours pour comprendre la démarche de l’archéologue expérimental.

Et finalement, en 2017, l’Apocalypse est arrivée. Quand la mystérieuse toxine est apparu dans l’air, ça n’a pas fondamentalement changé mon quotidien. Je n’étais pas le genre de chercheuse qui travaillait sur ces choses-là. Et je ne regardais pas vraiment les informations, me contentant de lire l’actualité des experts archéologues et historien. L’université a annulé mon prochain voyage d’études, par précaution, et j’ai continué à travailler sur mon projet du moment.

Je cherchais à déterminer les techniques de fabrication d’armes employées par les incas. Le tout, sans autres références que des fragments de lame, des traces de blessures sur des squelettes de conquistadores, et des gravures  et dessins de soldats en équipement complet. Pour cela, je réalisais l’une après les autres des répliques le plus semblables possibles selon différents procédés, en y ajoutant jusqu’aux plumes décoratives. J’étais désormais occupée à analyser et tester ces différentes répliques, afin de voir lesquelles pouvaient correspondre aux observations issues des fouilles.

Ce soir-là, j’étais restée à l’université très tard pour poursuivre mes recherches. Soudain, alors que je me dirigeais vers le fauteuil pour récupérer mon sac, la porte s’ouvrit à la volée. Un homme vêtu comme un agent d’entretien me faisait face, le teint proche du verdâtre comme s’il était malade. J’allais lui demander s’il allait bien lorsque j’ai aperçu son épaule visiblement déboitée et son bras ensanglanté. J’ignorais ce qui lui était arrivée, mais il fallait appeler de l’aide, et vite. Mais à peine m’étais-je retourné pour attrapper mon téléphone de bureau qu’il s’est jeté sur moi avec un grognement sinistre. Je n’ai même pas réfléchi, les réflèxes issus de mon entrainement prenant le dessus, et je l’ai heurté à l’estomac d’un coup de pied, le projetant contre la table basse. Sa nuque a craqué sèchement, s’immobilisant à un angle inquiétant, et il n’a plus bougé. Il ne respirait visiblement pas. En panique, convaincue d’avoir tué un homme, j’ai appelé la sécurité, mais il n’y avait aucune tonalité. Et là, il s’est relevé et, malgré sa nuque visiblement brisée, il a claudiqué vers moi en salivant, sentant le pourri à plein nez. Et j’ai enfin compris ce qu’il était : un mort-vivant. Alors ? J’ai attappé la réplique de lance la plus proche et je me suis défendue, ne m’arrêtant que lorsque sa matière grise dégueulassait le tapis du bureau et qu’il ne bougeait vraiment plus.

J’ai fourré mes recherches dans mon sac, attrappé une lance, un macuna et deux poignards aztèques, et je suis rentrée chez moi, en me défendant des autres saloperies que je rencontrais en chemin. Et une fois chez moi, je me suis barricadée. J’ai renforcé la clôture, j’ai arraché les fleurs de la voisine du dessus (ma proprio, une vieille sans enfants qui était en maison de retraite mais possédait toujours la maison) pour planter plus de légumes, et pendant quelques temps, je me suis débrouillée avec ma maison, mon jardin, mes techniques, et quelques raids ponctuels, plus fréquents en hiver. J’employais pour survivre un savant mélange de savoir des Anciens, de technologies moderne (ah, la lampe dynamo à poignée, c’est quand même fantastique) et de créativité personnelle.

La situation s’est installée. Au début, j’étais une hermite, mais peu à peu, au fil de mes excursions, j’ai rencontré des gens. J’ai appris l’existence des différentes communautés, mais je m’en suis méfiée, de cette mairie autoritaire, de ce bâtiment militariste et de ce musée de bisounours. J’aimais la vie en collectivité, sinon, je n’aurais certainement pas emmené mes étudiants camper tant de fois. Mais tout ça ne me disait rien qui vaille.

Je m’en sortais, mais j’en avais marre, de buter des zombies. J’avais envie de construire quelque chose de beau, de durable, pas de me terrer comme un rat. J’ai commencé à entendre des rumeurs : au Nord, il n’y avait pas de zombies. J’ai commencé à préparer mon départ, que je prévoyais tranquillement pour le printemps 2022. Mais fin novembre 2021, dez zombies ont subitement réussi à faire une brèche dans mes défenses, et je suis partie en catastrophe, avec un sac à dos à moitié prêt et mes armes.

Je ne m’étais pas attendue à ce qu’en remontant vers le Nord, au fil des semaines de marche, le froid soit si intense. On était en Californie après tout, et à une altitude très faible. Alors que je commençais à me dire que je devais être la seule idiote à avoir cru ces histoires, j’ai fini par rencontrer quelqu’un. La suite ? Je vous la raconterais un autre jour.</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR LE CITY

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<div id="city" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 35 ans
<label>Situation amoureuse :</label> Mariée
<label>Quartier :</label> Bayside Boulevard
<label>Métier :</label> Conservatrice au musée
<label>Association :</label> Home for Everyone - Référente culturelle : La réinsertion, ça passe par la formation, pas vrai ? Et la culture générale, c'est important pour trouver du travail. Apprendre aux gens à pêcher vaut mieux que de leur donner un poisson, pas vrai ? Alors, Sarah organise des visites guidées du musée pour les bénéficiaires de l'association, ainsi que des ateliers culturels.
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité city</span></div><span>Au printemps 2021, John Hartley, agent du FBI, est envoyé pour assister Interpol dans une enquête. Il a reçu un tuyau de la part de “The Bishop”, célèbre criminel à l’identité élusive. Nolan Booth, deuxième meilleur voleur d’art au monde, s’apprête à dérober le premier des trois Oeufs de Cléopâtre, au Museo Nazionale di Castel Sant’Angelo à Rome.

Hartley manque bien de réussir à arrêter Booth, mais la police local arrive à un moment inopportun, et offre à Booth une distraction lui permettant de fuir avec l’oeuf. “The Bishop” communique alors à Hartley l’adresse de sa planque à Bali, lui permettant d’arrêter Booth et de récupérer l’oeuf. A l’insu d’Interpol, elle se déguise en membre de l’équipe d’intervention afin de subtiliser l’oeuf et de le remplacer par un faux : c’était son plan depuis le début, la raison de son tuyau.

L’agent d’Interpol Uvrashi Das soupçonne Hartley et l’arrête séance tenante, l’emprisonnant dans la même cellule que Booth, dans une sorte de goulag russe. Convoqués dans le bureau du directeur après une bagarre, ils y découvrent nulle autre que “The Bishop” elle-même : le directeur de la prison mange dans la main de cette belle femme et obéit à ses ordres. Elle révèle à Hartley que Booth sait où se trouvent les trois oeufs, et propose à ce dernier sa liberté - et un faible pourcentage - en échange de son aide pour dérober les deux autres oeufs, ce qu’il refuse.

Hartley et Booth s’évadent ensemble. Leur cible est simple : “The Bishop” elle-même. Hartley veut l’arrêter pour laver son nom, Booth veut la retirer du jeu pour redevenir le meilleur voleur d’art au monde. Quand au sort des oeufs ? Ils verront le moment venu.

Ils s’introduisent au bal masqué d’un trafiquant d’armes notoire nommé Sotto Voce, à Valencia, afin de dérober le second oeuf. “The Bishop” est présente, pour les mêmes raisons. Elle danse avec Hartley pour attirer l’attention de Voce, et l’agent en profite pour dérober le téléphone de celui-ci, nécessaire pour accéder à la chambre forte.

A leur grande surprise, dans ladite chambre forte, les deux hommes trouvent “The Bishop”. Elle est de mèche avec Voce, à qui elle rend l’oeuf qu’ils tentaient de lui dérober. Assomés, Hartley et Booth se réveillent retenus captifs sous une arène de corrida, où Sarah débouche le champagne, torture Hartley à l’électricité en chantant comme une psychopathe pour forcer Booth à lui révéler l’emplacement du troisième oeuf, puis s’en va après avoir regardé Voce s’effondrer, drogué par ses soins.

Booth a menti à Sarah : le troisième oeuf n’est pas dans la tombe de Cléopâtre, mais dans un bunker nazi en Argentine. Mais “The Bishop” n’est pas dupe, et les suit jusque là. Ils sont attaqués par une escouade d’Interpol menée par Das et fuient dans une voiture d’époque trouvée dans le bunker, s’engageant dans une course poursuite endiablée avant de se jeter dans une cascade.

Quand Booth revient à lui, il ne voit pas Hartley et pose l’oeuf pour sauter à l’eau à sa recherche. Mais Hartley est bien vivant, au sec. C’est alors que Booth découvre une terrible trahison. “The Bishop” n’est pas uniquement cette femme, mais aussi John Hartley, qui est son partenaire, romantique et professionnel, et n’a jamais été flic contrairement à son père. Depuis le début, ils prévoient de voler les trois eux et de faire porter le chapeau à Booth. Alors, ils le menottent à un arbre et le laissent être arrêté, sans aucun état d’âme, pendant qu’ils partent livrer les oeufs à un milliardaire égyptien à temps pour le mariage de sa fille - une imitation de celui de Cleopâtre. Das débarque et arrête le client pour possession de contrebande nazie, mais “The Bishops” s’échappent.

Ils font profil bas quelques temps, peinards sur leur yacht. Et puis, en juin 2021, Booth débarque après avoir fui un transport pénitentiaire. Il menace de révéler leur location à Das, puis leur offre une alternative : l’aider à voler des tableaux au Louvre. Ils acceptent, et le cambriolage a lieu en août - le casse le plus monumental de leurs vies entières. Et ensuite ? Ils se séparent. Enfin, Booth disparait dans la nature, mais bien sûr, “The Bishops” restent ensemble. A la vie, à la mort.

Et, au mois de septembre 2021, un jeune couple tout à fait charmant débarque à Silvergate. Ils ont la trentaine, ils n’ont pas d’enfants, mais celle qui se présente comme "Sarah Black" raconte à qui veut l’entendre qu’ils reviennent de lune de miel. Ils cherchent un logement, envisage une maison à Downtown, mais le mari refuse car l’idée lui rappelle trop de mauvais souvenirs. Alors, ils prennent un loft avec vue sur l’océan, dans un immeuble tranquille de Bayside Boulevard. Quelques semaines plus tard, Sarah prend un poste de guide et conservatrice au Musée à Summerdale. Et puis, de fil en aiguille, elle se retrouvé Référente Culturelle de Home for Everyone, à proposer aux bénéficiaires de l’association des visites guidées du musée, des ateliers culturels, pour faciliter leur réinsertion.

A priori, cet adorable jeune couple cherche simplement à se faire un petit nid douillet où roucouler en paix. Mais sont-ils dignes de confiance, ou préparent-ils un mauvais coup ? Seul l’avenir nous le dira !
</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR l'HISTORIQUE

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<div id="histo" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 20 ans
<label>Situation amoureuse :</label> Fiancée
<label>Lieu d'habitation :</label> Orkney (originaire de Roselake, prétend venir d'Everwinter)
<label>Type :</label> Humaine
<label>Métier :</label> Fiancée du Prince Paul, Usurpatrice
<label>Classe sociale :</label> Roturière se faisant passer pour noble
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité historique</span></div><span>Vous connaissez la chanson ?
“Dans une tour de Ros’lake, y avait un prisonnier - Y avait un prisonnier.
Personne ne v’nait le voir que la fille du geôlier - Que la fille du geôlier…”

Oui, celle-là. Vous avez déjà la mélodie en tête, j’en suis sûre.

Je déteste cette chanson. Pourquoi ? Parce que je l’ai entendue encore, et encore, et encore durant mon enfance.

Mais peut-être devrais-je commencer par le commencement. Dans une tour de Roselake - non, pardon, je ne crois pas aux “Il était une fois” - dans une Tour de Roselake, donc, un de ces donjons doublés de camps de travail, il y avait une prisonnière. Et cette prisonnière, personne ne venait la voir - je suppose - à part cet enfoiré de geôlier.

Qui était-elle ? J’ignore jusqu’à son nom. Quel crime avait-elle commis ? Oh, une bagatelle, sans doute. Je parierais sur un vol. Après tout, si elle tué quelqu’un, on lui aurait coupé la tête, n’est-ce pas ?

Tout ce que je sais, c’est qu’elle avait dix-neuf ans quand elle est morte en mettant au monde une petite fille, comme ça, en prison, par une froide nuit de janvier 1401. Et cette petite fille, c’était moi.

La prison n’était pas capable d’élever un enfant, et bien sûr, je n’avais commis aucun crime... Alors, on m’a condamnée à l’Orphelinat de la Sainte-Charité. Une prison qui n’en avait pas le nom, là où l’on regroupait les orphelins issus des couches du peuple les plus pauvres. Des moins-que-rien qui seraient morts dans le caniveau si une bonne âme ne les avaient pas déposés sur le parvis de l’orphelinat - une réalité qui nous était rappelée chaque jour, du petit déjeuner où nous mangions notre infâme gruau en lorgnant avec envie les oeufs et le bacon des adultes, au coucher où nous nous effondrions sur les paillasse, épuisés par une longue après-midi de labeur, textile pour les filles, jardinier pour les garçons.

Alors évidemment, ça aidait l’égo fragile de ces sales gosses de se dire qu’ils n’étaient pas vraiment au bas de l’échelle, qu’il y avait quelqu’un en-dessous d’eux. Et ce quelqu’un, c’était moi. [i]Eux[/i], “au moins”, pouvaient se targuer d’être les enfants d’honnêtes gens. Pauvres comme la gale, mais honnêtes. J’avais à peine quitté l’étage de la nursery pour migrer dans le dortoir que les remarques mesquines et les fredonnements ont commencé. Mais amis furent rares, ne restèrent jamais longtemps , et la plupart des enfants avaient fait de moi leur bouc émissaire. Mais n’allez pas croire que je me suis laissée faire !

J’aurais pu me bagarrer avec les autres, à chaque provocation - autrement dit : à longueur de journée. Mais voyez-vous, j’étais plus maligne que ça, et j’ai joint l’utile… A la vengeance. Voyez-vous, avant son départ, l’enfant dont j’étais le plus proche m’avait appris comment m’introduire en douce dans le garde-manger des adultes. Tant qu’on savait se servir discrètement, et qu’on n’était pas trop gourmand, il n’y avait aucune chance de se faire prendre, et on pouvait se nourrir ainsi nuit après nuit - enfin, un soir sur deux, grand maximum. Il ne fallait [i]jamais[/i] y aller deux soirs de suite ! Telle était la règle.

Et bien, une nuit, je me suis faufilée dans le garde manger des adultes et j’ai vraiment, vraiment fait ma gourmande. Et ensuite, j’ai semé des indices inculpant la camarade qui avait été la plus mesquine avec moi, ces derniers temps. Est-ce que les autres enfants savaient que c’était moi ? S’ils avaient eu le moindre doute, mon sourire victorieux leur aurait confirmé mon implication. Mais malgré toutes leurs protestations, face aux preuves, les adultes réclamèrent le silence et punirent la fameuse peste.

Deux amis à elle décidèrent de me donner une bonne leçon. J’avais déjà été pas mal secouée par les autres enfants, mais ce jour-là, c’était différent. Une bastonnade en bonne et due forme, par un garçon et une fille plus âgés. Est-ce que j’étais en mesure de me défendre ? Aucune chance. Est-ce que je les ai suppliés de m’épargner ? Plutôt crever ! Est-ce que je leur ai fait regretter ? A votre avis ?!

Je suis retournée dans la réserve le lendemain - en contournant sans mal l’adulte assoupi qui était sensé faire le guet suite à la première incursion - et je me suis régalée des chocolats de la directrice. Il y en avait trop pour que je les mange tous, mais j’ai écrasé [i]tout[/i] le reste avec les semelles de leurs chaussures. J’ai même poussé le vice jusqu’à laisser un morceau de papier doré collé sous l’une des chaussures du garçon. Et quand la directrice a demandé qui était le responsable, j’ai affirmé les avoir vus sortir du dortoir. Ils ont nié, mais l’état de leurs chaussures constituait une preuve accablante. La leçon de la directrice leur a fait envier celle qu’ils pensaient m’avoir donnée.

Après ça, ma vie à l’orphelinat est devenue beaucoup plus confortable qu’avant. Les méchancetés se sont espacées, par crainte des représailles - qui ne manquaient jamais d’arriver. Certains des “suiveurs” sont même devenus gentils avec moi, pour s’assurer de ne pas avoir à subir ma colère. J’ai pu carrément m’assurer de leur protection en leur fournissant un peu de nourriture. Et quand quelqu’un faisait un nouvel écart inacceptable, je le lui faisais regretter. C’était ma première arnaque, simple, mais brillante. Et les enjeux étaient déjà élevés : voyez-vous, j’étais certaine que, si je relâchais ma vigilance un seul instant… j’allais mourir.

Et puis, une nuit, quand j’avais huit ans, je suis descendue dans le garde-manger, comme toutes les autres nuits. A vrai dire, je n’avais même pas prévu de piéger qui que ce soit cette nuit-là. Juste de grignoter un peu et de remonter me coucher. Mais voilà : j’y étais déjà allée la veille ! J’avais pourtant été prévenue… Il n’y avait pas de garde assoupi cette nuit-là, et ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille… Mais je me suis simplement dit que, comme je n’avais pas “fait de vagues” depuis quelques temps, ils avaient dû renoncer. J’ignorais que c’était tout le contraire : la directrice tenait désormais un strict inventaire quotidien, et avait donc réalisé que quelqu’un chapardait, non pas ponctuellement, mais quotidiennement. Et quand je suis arrivée dans le garde-manger, elle m’y attendait, bien éveillée, appuyée sur sa canne, les yeux scintillants de haine. Et là, j’ai vu dans son regard que si elle m’attrappait, elle allait me tuer !

Alors, j’ai fait demi-tour et je me suis enfuie aussi sec. Dans mon lit ? Elle pouvait toujours rêver ! Non, j’ai traversé la cuisine, couru sur la grande table de la salle à manger parce que je n’avais pas le temps de contourner toutes ces chaises, et j’ai sauté par la fenêtre du rez-de-chaussée. J’ai mis un bon moment avant d’oser m’arrêter de courir, et ensuite, je me suis écroulée dans une petite allée, essoufflée et le coeur battant la chamade.

Je n’avais rien emmené avec moi, et de toute manière, je ne possédais rien, à part deux uniformes de semaine et un uniforme du dimanche - trop reconnaissables - ainsi que la chemise de nuit et les chaussures que je portais. Heureusement que je mettais toujours mes chaussures juste avant de descendre l’escalier de pierre qui menait au garde-manger !

Peu avant l’aube, j’ai volé une robe rouge à ma taille et deux rubans assortis sur le fil à linge d’une maison bourgeoise. Comme je n’avais ni sac, ni maison, je rangeais la chemise de nuit sous ma robe, accrochée sur mon jupon. Si on y regardait pas de trop près, ça faisait le même effet que ces bosses que mettaient certaines dames sous leurs robes - appelées “tournures”, je l’apprendrais plus tard.

Et donc, j’ai survécu en volant. Pas à l’étalage - j’ai appris très vite que le “Hit and Run” n’était pas pour moi - mais par la ruse. Je m’accrochais à des dames en pleurant parce que j’avais “perdu ma maman”, leur faisais les poches, et prétendais l’avoir aperçue. Ou bien, je faisais semblant de tomber devant chez le boulanger, me mettais à pleurer, et il me donnait un croissant pour me consoler.

Tout ça, bien sûr, n’a marché qu’un temps. Chouiner, c’est bon pour une petite fille, et en approchant de l’adolescence, il me fallait une nouvelle tactique. Alors ? J’ai commencé à flirter avec de timides jeunes apprentis pour qu’ils ne se rendent pas compte que je subtilisais leur marchandise. A prétendre de me sentir faible en pleine rue pour faire les poches du malheureux qui me rattrappait. Et puis, de fil en aiguille, grâce à des informations glanées auprès d’apprentis et de domestiques dont les langues se déliaient pour un simple sourire, j’ai commencé à cambrioler des boutiques, des demeures bourgeoises. Je me suis fait des contacts, parmi lesquels un prêteur sur gages qui ne regardait pas trop à la provenance de sa marchandise tant qu’il pouvait en tirer un bon prix.

Mon secret ? J’étais charmante. Je ne parle pas de beauté, hein, mais bien de charme. N’importe quelle cruche peut naitre jolie, ou le devenir sous une bonne couche de maquillage, et même une fille peu gâtée par la nature peut être charmante. La beauté est un artifice, le charme un talent. Je ne considérais pas forcément comme très jolie, à l’époque, mais j’avais le sourire radieux, le regard pétillant, le rire facile. J’avais l’air d’une gentille fille, joviale, sympathique. En clair ? On m’aurait donné le bon dieu sans confession.

Et puis, à nouveau, j’ai été trop gourmande. C’est tout moi, ça : je suis convaincue que je mérite le meilleur, et je refuse d’attendre. Je veux tout, tout de suite ! Et donc ? Je suis allée cambrioler une maison noble. Et devinez quoi ? La sécurité, c’était autre chose que chez les bourgeois… Et je me suis faite prendre. Comme une bleue ! C’était en 1416 et, si vous savez compter, j’avais quinze ans. Le majordome a hurlé au voleur ! Il voulait appeler la maréchaussée séance tenante et me faire jeter au trou.

Mais sa maitresse l’a assuré que ce n’était pas nécessaire. Et là, à ma grande surprise… Elle m’a invitée à dîner, en disant que je devais être affamée pour essayer de la voler, et que de toute manière, elle se sentait seule. J’ai accepté avec une réticence méfiante, et elle m’a fait servir de la soupe et du faisan rôti, en s’excusant d’avoir dû les faire réchauffer parce qu’elle ne m’attendait pas. Mais moi, je n’avais pas besoin qu’elle s’excuse : je n’avais jamais rien mangé d’aussi délicieux ! Ensuite, parce qu’il était tard, elle m’a proposé de rester pour la nuit. Et j’ai passé la nuit dans ce lit scandaleusement confortable - mais j’ai verrouillé le loquet de la porte, gardé la fenêtre entrouverte, et gardé mes vêtements au lieu d’enfiler la chemise de nuit qu’elle m’avait proposée.

Quand on m’a apporté le petit-déjeuner, j’ai commencé à me dire que si elle voulait me tendre un piège, elle l’aurait déjà fait. Et du coup ? J’ai commencé à relâcher d’un cran ma vigilance, et j’ai décidé d’en profiter tant que ça durait. Au déjeuner, elle m’a proposé de rester vivre avec elle… J’ai hésité, je l’avoue. Etait-il bien raisonnable d’accepter ? Et pourtant, qui pouvait dire non à trois repas chauds par jour, un édredon de plumes et de jolies robes ? Au final, c’est le bain chaud parfumé à la rose d’Orkney qui a eu raison de moi, et je suis restée.

Et donc ? Dame Black m’a élevée comme sa propre fille. Elle était mariée, m’a-t-elle expliqué, mais elle vivait à Roselake pour gérer les terres de sa famille depuis le décès de son frère sans héritiers, son mari à Everwinter pour gérer les siennes, et ils ne se voyaient que quelques mois par an. J’ai reçu de nombreuses leçons pour apprendre tout ce qu’une jeune fille devait savoir pour vivre parmi la noblesse. J’ai pris goût aux bains à l’eau de rose d’Orkney, aux thés à la menthe et aux histoires de Katie Woodencloak. Et moi pour qui voler était devenu une seconde nature, je n’ai jamais chapardé la moindre babiole, le moindre biscuit même, dans la maison de celle que j’ai appris à appeler “Mère”.

D’abord, je ne côtoyais que “Mère” et ses domestiques, et puis elle a commencé à me convier à participer aux soirées qu’elle organisait avec ceux qu’elle appelait ses “amis” en public et ses “alliés” lorsque nous étions seules. Je ne rencontrais de gens qu’à la maison, et je ne quittais son domaine que pour des bals masqués, à l’exclusion de tout autre évènements. Les dîners, c’était à la maison exclusivement. Et quand elle repartait à Everwinter à l’Automne, je ne l’accompagnais pas. Elle disait qu’il y faisait trop froid pour moi, et moi, je lui faisais confiance.

Et puis, au début de l’hiver 1420, Mère est rentrée dans tous ses états. Elle m’a expliqué qu’elle avait une belle-fille, Lara, avec qui elle devait rentrer à Roselake afin de finir de préparer son mariage au Prince d’Orkney, pour l’été 1421… Mais que cette “petite ingrate” avait préféré s’enfuir que d’assumer ses responsabilités… Et maintenant ? Mère serait tenue responsable. Elle se disait fichue. Ruinée. Quand on s’en rendrait compte, on allait la guillotiner sur la place publique, elle en était certaine. Je ne voulais pas qu’il lui arrive quoi que ce soit… Mais comment pouvais-je l’aider, moi ?

Et bien, il y avait un moyen : apparemment, je ressemblais de façon troublante à Lara. Pas non plus comme des jumelles, mais au moins comme des soeurs. Selon l’éclairage, ou pour une personne qui ne nous avait pas vu depuis longtemps ? Nous donnions clairement le change. Donc, si je pouvais me faire passer pour elle, Mère serait sauve. Ce ne serait même pas définitif - juste le temps de la retrouver et de nous échanger à nouveau, m’assura-t-elle. Comment aurais-je pu refuser à celle qui m’avait tout donné la faveur qui pouvait lui sauver la vie ? Mais voilà : je n’avais même pas tout à fait si mois pour apprendre à me faire passer pour Lara. C’était une folie. C’était impossible… Pas vrai ?

Et bien, apparemment, ce n’était pas si difficile que cela. Lara aimait les bains à l’eau de rose d’Orkney, les thés à la menthe et avait grandi en écoutant les histoires de Katie Woodencloak. On nous avait enseigné les mêmes règles d’étiquette. Nos prénoms étaient si proches que nous devrions nous en sortir aisément - Mère a essayé de me faire apprendre à répondre au sien, puis en désespoir de cause, elle a décidé de blamer son secrétaire, de l’accuser de faire trop de fioritures à la calligraphie de ses S. Elle avait même le volume actuel de son journal intime pour me permettre de rentrer totalement dans sa tête.

Et voilà comment je me suis retrouvée, en juin 1421, dans une calèche en direction du Palais Royal d’Orkney. Le voyage s’est déroulé sans véritables encombres. Nous avons été accueillies au Palais par la famille Royale ainsi que le Prince @”Paul Atréides”, mon fiancé - enfin, celui de Lara.

Mais le soir-même, dans mes appartements, celle que j’appelais “Mère” a exigé que j’espionne le prince pour elle, que je lui rapporte ses moindres faits et gestes. Plus encore qu’hésitante, j’ai été confuse. Je croyais que je devais simplement remplacer Lara le temps qu’on la retrouve… Alors quand étais-je devenue une espionne, au juste ? Et bien, elle m’y avait préparé pendant cinq ans, m’a-t-elle répondu. Mon premier instinct avait été le bon : elle m’avait tendu un piège… un piège au long cours. J’ai voulu refuser, parce qu’il me semblait suicidaire d’espionner la famille Royale. Et là ? Elle a menacé de hurler, d’appeler la garde, de dire que j’étais une usurpatrice et qu’elle ne savait pas où était sa belle-fille. Et alors, j’ai cédé.

Lara est-elle toujours vivante ? A-t-elle réellement fui, ou bien Dame Black s’en est-elle prise à elle ? Je l’ignore. Je ne sais qu’une chose : les gens sont tous des enfoirés, on ne peut faire confiance à personne, et le seul moyen de survivre est d’être plus malin qu’eux. Alors… autant profiter le plus longtemps possible des conforts du Palais !

Bien sûr, je ne m’attendais pas à la mystérieuse épidémie qui nous a frappés quelques mois après mon arrivée. Les péchés capitaux, n’a-t-on pas tardé à dire. Ma femme de chambre a été frappée de paresse, et j’ai bien vite renoncé à la chercher, parce que je la trouve habituellement assoupie quelque part. D’autres ont été saisis de colère, et se sont mis à hurler sur tout le monde, voire à devenir violents.

Et moi, dans tout ça ? Et bien… Vous vous souvenez d’Antigone ? “Moi, je veux tout, tout de suite, - et que ce soit entier - ou alors je refuse ! Je ne veux pas être modeste, moi, et me contenter d'un petit morceau si j'ai été bien sage. Je veux être sûre de tout aujourd'hui et que cela soit aussi beau que quand j'étais petite - ou mourir.” Comment qualifierait-on le péché capital d’Antigone ?
L’avarice, peut-être ? Mais l’avare se refuse à jouir de ses biens, se contentant de les accumuler et de siéger dessus. L’envie, alors ? Plus probable, et pourtant, il y avait tant de choses que je veux et que je ne vois pas chez quelqu’un d’autre, mais que je veux tout de même. Et il y a des choses que possèdent les autres, des choses précieuses, pour lesquelles je n’ai aucun intérêt. Par exemple ? La couronne de la reine. Peut-être que je la porterais, un jour, si je joue bien mes cartes. Mais pour l’instant ? Elle ne vaut pas les efforts qu’elle me coûterait. La gourmandise, donc ? Mais c’est bien plus que la nourriture qui m’attire (même s’il faut avouer que je me régale comme jamais).

A vrai dire, j’ignore quel est mon péché capital. Ce n’est pas comme si quelqu’un s’amusait à diagnostiquer les péchés capitaux des gens ! Mais telle Antigone, je veux tout, tout de suite. Je suis comme habitée par le désir de savourer tout ce que la vie peut m’offrir. Le luxe, les belles robes, le pouvoir… Et surtout, la vengeance. “Mère” n’a qu’à bien se tenir. La vengeance est un plat qui se mange froid, dit-on ? Que nenni. La vengeance est un plat qui se mange chaud, chaud à se brûler la langue. Et justement, le dîner est servi.</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR LE SURNATUREL

-->
<div id="surnat" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> Plus de 3000 ans
<label>Situation amoureuse :</label> [strike][i]Thirsty[/i][/strike] Célibataire
<label>Quartier :</label> Blackridge
<label>Type :</label> Vampire
<label>Particularités/pouvoirs :</label> Capacités des vampires
[list][*]Absence de mort naturelle (vie éternelle)
[*]Charme (émission de phéromones pour charmer et manipuler ses victimes. C’est la spécialité de Sarah, qui a l’art de se faire passer pour la gentille et de convaincre les gens de vouloir lui venir en aide.
[*]Faim : Sarah a faim de sang et ne peut se nourrir que de lui, étant plus ou moins incapable de diggérer la nourriture humaine. Elle est capable de consommer du sang animal, mais elle s’y refuse, trouvant cela aussi dégradant que de manger des bouses.
[*]Force et vitesse décuplées
[*]Insensibilité à la magie (sauf les sorts de lumière)
[*]Vision nocturne, une conséquence de son intolérance à la lumière du jour
[/list]
<label>Métier :</label> Chef de clan sur le retour (est techniquement la cheffe d'un clan vampire, mais après quelques siècles de sommeil, son influence n'est plus ce qu'elle était, et tout est à reconstruire.)
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité surnaturelle</span></div><span>WARNING - Esclavage antique, agression, gore. Vous êtes prévenus.
[strike]Warning 2 - J’ai craqué, y a pas d’autre mot. JPP.[/strike]

La rumeur raconte que Sarah Black s’appelait autrefois Semiramis, et qu’elle a vécu à Silvergate il y a plus de 3000 ans, aux alentours de Riverfall, dans le Palais du Roi Darius. Une princesse, rien de moins que ça. Une princesse datant de cette époque lointaine où la moindre petite tribu avait son roi, mais une princesse tout de même. Elle serait tombée amoureuse d’un homme, roturier, vampire, qui l’aurait transformée pour la garder auprès de lui pour l’éternité.

Approchez, je vais vous dire un secret.
Tout ça n’est qu’un tissu de mensonges… Mais s’il n’y a personne pour savoir que quelque chose est faux, alors ça devient vrai, n’est-ce pas ?

Oh, [i]tout[/i] n’est pas faux, à vrai dire. Sarah a bien vécu dans le Palais du roi Darius, il y a plus de 3000 ans. Mais la Princesse Semiramis à la beauté légendaire ? Et bien, ce n’était pas elle. Sarah, ou plutôt Shara, comme on l’appelait avant que les langues n’évoluent, n’était qu’une jeune esclave du Palais Royal, fille d’un père inconnue et d’une esclave qui l’avait laissée orpheline à l’âge de sept ans. Et pendant que la princesse Semiramis prenait ses leçons et dansait aux fêtes de son royal père, celle que l’on appelait “Gamine” les bons jours récurait des casseroles, lavait du linge et nourrissait le bétail.

Shara n’avait que deux ans de moins que Semiramis, et elle connaissait le vrai visage de la princesse. Sous les fards et les perruques serties d’or qui lui octroyaient une beauté louée par tous les poètes du royaume, Semiramis était laide de l’intérieur, vaniteuse et cruelle. Tourmenter les domestiques était l’un de ses passe-temps préférés et bien sûr, Shara n’était pas épargnée.

La mère de Shara avait été très croyante de son vivant, et semblait toujours puiser du courage et du réconfort dans sa foi. Alors, de longs mois après sa mort, Shara décida de se rendre au petit temple qu’avait fréquenté sa mère - un temple de pauvres, à peine un autel au coin d’une rue. Elle n’avait pas d’argent pour acheter des colombes à sacrifier ou des biscuits sacrés, alors elle captura tous les rats qu’elle put trouver dans la réserve, les enferma dans une cage, et les abattit un à un sur l’autel, espérant compenser la qualité par la quantité. Et puis, ne sachant pas trop comment prier, elle raconta ses malheurs au vent, à l’esprit de sa mère, à ces dieux qui ne se souciaient probablement pas d’une petite mortelle, à quiconque voudrait bien l’écouter.

Shara n’en avait pas confiance, mais ses prières étaient écoutées, justement. Mais pas par un dieu, ni par un humain. Juste à côté de l’autel, il y avait la soupente de la cave d’une maison abandonnée. Dans cette cave, un vampire nouvellement transformé avait trouvé refuge. Il avait été un soldat d’une trentaine d’années nommé Uruk, et d’une certaine manière, il était toujours cet homme, mais pourtant, il était aussi un nouveau-né, et orphelin comme elle.

En sentant une présence approcher de la cave, il faillit bien se jeter sur elle, affamé qu’il était. Mais l’affaiblissement le rendait lent, et il mit un moment à traverser la cave. Et là, en approchant de la soupente, il vit à la lumière de la lune, cette petite fille en larmes qui racontait ses malheurs, et le monceau de créatures fraichement abattues qu’elle avait déposées sur l’autel. Alors, il l’écouta, et quand elle partit, il se nourrit des proies qu’elle lui avait amenées.

Elle revint une à deux fois par semaine, et voyant que ses offrandes semblaient plaire aux dieux qui l’écoutaient, elle en amena d’autres, redoublant de créativité pour avoir toujours une proie à sacrifier sur l’autel des confidences.  Parfois, il lui répondait et la fillette, entendant cette voix qui semblait surgir de nulle part, était convaincue que l’un des innombrables dieux auxquels croyait sa mère avait choisi de l’écouter et de la conseiller.

Peu à peu, les forces d’Uruk grandirent. Il ne resta pas éternellement dans sa cave. Peu à peu, il commença à sortir et chasser, d’abord des animaux par lui-même, et puis des victimes humaines. Et finalement, il se trouva une demeure à Blackridge, bien plus digne de lui que ce trou à rats qui l’aurait été littéralement sans la présence du prédateur surhumain. Et au fil des années, il rassembla autour de lui d’autres jeunes vampires. Mais jamais il n’oublia son rendez-vous hebdomadaire avec la fillette humaine qui l’appelait “Seigneur Uruk”. Elle ne venait pas systématiquement le même jour, mais il faisait surveiller les environs de la cave par ses sbires, qui avaient ordre de ne pas s’approcher de la jeune fille, et elle n’avait qu’à le quérir pour qu’il réponde présent. Le seigneur vampire avait la réputation d’être sans pitié, mais il était loyal à celle qui l’avait aidée lorsqu’il n’avait rien ni personne.

Shara ne resta pas éternellement une fillette. En grandissant, elle devint l’une des servantes personnelles de la Princesse Semiramis. Elle ne tarda pas à susciter la jalousie de celle-ci, dont les mauvais traitements redoublèrent. Ses visites ralentirent également, de plus en plus au fil des années, alors qu’il lui était de plus en plus difficile de s’esquiver.

Jusqu’à cette nuit fatidique, une bonne décennie après leur première rencontre, où elle arriva en courant, secouée de sanglots, la manche de sa robe déchirée, le poignet tuméfié. Shara avait réchappé indemne, à quelques bleus près, aux exigences du nouveau roi, héritier de Darius, frère-époux de Semiramis… Mais la simple idée d’y retourner la plongeait dans la panique.

Et pour la première fois, Uruk sortit de l’ombre, révéla son visage à la lumière de la lune. Il lui offrit sa protection, et bien plus encore : il lui offrit le pouvoir de se venger de tous ceux qui lui avaient fait du tort. Il lui tendit la main, elle la prit, et Uruk la ramena chez lui, dans cette demeure où il avait rassemblé une poignée de fidèles, la présenta comme sa fille - son enfant - et il lui offrit son venin, faisant d’elle une déesse. Enfin, une vampire, comme il le lui apprit plus tard. Mais y avait-il vraiment une différence ? A ses yeux, c’était discutable.

Shara mit quelques temps à se remettre de sa transformation, et plus longtemps encore à apprendre le contrôle. Mais enfin, elle fut prête. Alors, Uruk la conduisit dans le Palais de ses tourments, et resta à ses côtés tandis qu’elle savourait sa vengeance, massacrant les habitants et teintant les marches d’écarlates. Il n’y eut jamais d’autre massacre semblable à celui-là. On ne versait pas le sang à la légère, sauf quand il s’agissait de faire un exemple, telle fut la première leçon qu’Uruk enseigna à Shara.

Le temps passa, et Uruk lui apprit tout ce qu’il savait. Au fil des décennies, des siècles, Uruk gagnait en influence, et son clan, qui gagna le nom de “Black”, s’élargissait. Uruk lui-même était surnommé “The Black King”, pas parce qu’il revendiquait un quelconque statut royal, même au sein de son clan, mais parce que, tel un virtuose des échecs, il avait toujours de nombreux coups d’avance. Longtemps, il traita Shara comme une petite princesse gâtée, et à vrai dire, elle était bien dans ce rôle.

Un peu plus de trois cent ans après la transformation de Shara, Uruk eut une terrible brouille avec son plus vieil ami, causant une véritable guerre civile au sein du clan. Ils finirent par arriver à une trève tendue pour éviter de s’autodétruire, mais celle-ci ne put se faire qu’au prix d’un schiisme. Les Black… et les White. Après cela, les deux clans migrèrent dans des régions opposées de Blackridge, et s’appliquèrent à s’ignorer.

Shara devint le nouveau bras droit d’Uruk et son exécutrice, surnommée “The Bishop” par le clan, parce que ses attaques étaient toujours imprévisibles, soigneusement calculées pour prendre ses cibles par surprise. Avec les siècles, l’expérience et la maturité, elle apprit qu’on attrappait pas les mouches avec du vinaigre, et devint plus douce, moins belliqueuse en apparence, jusqu’à finalement apprendre à toujours avoir l’air d’être la gentille, celle du côté de qui il fallait être. Et peu à peu, le nom cessa d’être utilisé, jusqu’à tomber dans l’oubli.

Shara - que l’on appelait désormais Sarah - avait tout juste passé son douzième siècle lorsqu’une rencontre bouleversa sa vie. Il s’appelait Max, il était irrésistiblement séduisant et il savait la faire rire comme personne. Problème ? James était le fils du roi blanc, exactement comme elle était la fille du roi noir. Sarah était amoureuse et ne s’arrêta pas à cela. Ils commencèrent à se voir, d’abord en douce et puis, parce qu’Uruk ne lui refusait rien, chez elle.

Sarah aurait dû se méfier, mais Max était tout simplement son angle mort. Elle était entrée dans cette relation avec sincérité, et ni elle ni son père ne voyaient aucun intérêt à raviver cette vieille guerre entre deux clans qui n’en avaient un jour fait qu’un, surtout pas alors que les nombreux clans de vampires de Blackridge avaient tant de problèmes avec les mortels. Mais nourri de la rancoeur de son père, Max, lui, n’avait séduit Sarah que par duperie. Il se servit d’elle pour apprendre tout ce qu’il voulait apprendre, puis il orchestra une attaque sur la demeure d’Uruk.

Il assassina son père sous ses yeux et, jubilant d’apporter cette victoire à son père, dit à Sarah “Tout le monde se moque de ce qui t’arrive, princesse, et personne ne viendra te sauver.” Il n’avait pas compris que ce n’était pas elle, enfermée dans cette pièce avec lui… Mais bien lui, enfermé dans une pièce avec une vampire près de deux fois plus âgée que lui qui, sous ses dehors aimables, avait autrefois été “The Bishop” elle-même. Elle était plus forte, plus rapide, plus expérimentée, et surtout… en rage comme elle ne l’avait jamais été, parce qu’il l’avait trahie et avait tué celui qui lui avait tout donné.

Et donc, Sarah lui transperça le coeur avec sa tiare de [i]princesse[/i], puis la redressa sur sa tête sans faire aucun cas du sang qui dégoulinait sur ses cheveux, et embarqua sans effort le cadavre de Max dans son sillage alors qu’elle se dirigeait vers la grande salle, où la bataille faisait rage. Les combats s’arrêtaient sur son passage alors qu’elle s’avançait, droite comme une Furie venue des Enfers. En voyant le cadavre de son fils, le roi blanc tenta de se jeter sur elle, mais la colère embrumait l’esprit de l’homme, alors qu’elle rendait celui de Sarah aiguisé comme une lame. Elle le vainquit, pas à la loyale, mais en le piégeant au soleil avec l’aide d’un allié ; mais toujours est-il qu’elle fut victorieuse.

Après cela, elle annonça que le schiisme avait assez duré, et que les clans Black et White seraient à nouveau fusionnés. Ceux qui la suivraient seraient pardonné, les autres étaient libres de partir.
Vous devinez ce qui arriva à la première qui s’y risqua, et très peu se risquèrent à l’imiter. Comme elle l’avait annoncé, le clan ne fit plus qu’un, sous l’égide de celle que ses membres appelaient désormais “The Queen”.

Malgré ce que ce massacre aurait pu laisser présumer, Sarah n’avait pas d’intention belliqueuse. Elle avait fait payé le sang par le sang, et était prête à s’arrêter là. Ce qu’elle voulait, c’était consolider les relations internes de la communauté vampire, un projet qui mit beaucoup de temps à se mettre en place. Au fil du millénaire suivant, le clan commença à s’étendre - pas par la conquête, mais par l’investissement territorial - et à gagner des recrues - pas par l’enrôlement forcé ou la transformation massive, mais simplement en offrant un foyer à tous les jeunes vampires transformés contre leur gré et perdus face à leur situation. Sarah était rancunière, mais elle était juste, certains l’auraient même qualifiée de bienveillante - même si, à ses yeux, c’était poussé. Elle pensait simplement que les vampires étaient l’égal des dieux, et qu’il était donc naturel qu’ils aident ceux qui en avaient besoin, tout en punissant sévèrement ceux qui leur causaient du tort.

De temps en temps, un vampire qui a vécu longtemps doit faire un petit somme. Et Sarah dût faire l’un de ces sommes en 1500. Oh, rien du tout, une petite sieste, et réveil en 1520.
Le problème ? Et bien, l’imbécile qui était sensé la réveiller a perdu la carte menant à la Crypte où repose son cercueil. Et donc, il s’est fait empaler par un piège comme un imbécile. Résultat des courses, Sarah est restée plongée dans le sommeil comme la Belle au Bois Dormant. Le clan de son père, qu’elle avait renforcé, s’est délité au fil des siècles, et le nom même de Sarah est désormais à peine plus qu’une légende, et ceux qui sont restés fidèles au clan Black se comptent désormais sur les doigts d’une main.

Cela aurait pu rester le cas pour toujours… Mais ça, c’est sans compter sur une jeune archéologue amatrice de tombeaux, qui va exhumer Sarah en décembre 2021. Heureusement qu’elle va ramener un casse-croûte, parce que cinq siècles de sommeil, ça creuse.

Sarah est probablement l'une des plus anciennes vampires encore en vie, peut-être même[i]la[/i] plus ancienne... Mais, si son charme est toujours aussi puissant, malheureusement, ces quelques siècles de diète accidentelle ont sapé sa force physique qui, sans qu'elle aie à en avoir honte - surtout par rapport à un humain - est très loin de ce qu'elle a été autrefois. Il lui faudra du temps, quelques décennies, peut-être même quelques siècles, pour récupérer sa puissance physique d'antan. Mais cela ne l'empêchera pas de vouloir reconstuire la gloire du clan des Black, pour honorer la mémoire de son père.
</span></div></div><!-- -- ZONE HISTOIRE POUR LE FUTURISTE --> <div id="futur" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!-- --><label>Âge :</label> Ici. <label>Situation amoureuse :</label> Ici. <label>planete :</label> Ici. <label>Type :</label> Ici. <label>Particularités :</label> S'il a des particularités... <label>Métier :</label> Ici. </div></div><!-- --><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité futuriste</span></div><span>[b]Rappel :[/b] Cette réalité est forcément une [i]réalité alternative.[/i]</span></div></div><!-- --><div class="zone-boutons"><span id="apo-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/08ff6v0qpg3r6zk/biohazard-danger-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="city-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/lg2c8hq0nguxfbh/house-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="histo-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/b1szoujwzpxc8pg/castle-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="surnat-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/szzughe2a3mo99e/satanism-satan-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="futur-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/1judagnej58pd5q/Frame%201.svg?raw=1"></span></div></div><!--

--ZONE INFORMATION DU JOUEUR--

--><div class="presentation-joueur"><div class="icon"><span style="background: url('https://i.ibb.co/PDSwMV2/14.png');background-size:cover;"></span></div><div class="bloc-joueur"><titre><n1>ta</n1><n2>présentation</n2></titre><div class="infos-joueur"><label>Pseudo :</label> Blue
<label>Âge :</label> 26 ans
<label>Pays :</label> France
<label>Comment as-tu trouvé le forum :</label> 7C d'Inej Ghafa
<label>Pré-lien/scénario :</label> Liens en histo construits d'avance avec @"Paul Atrèides" et  @"Lara Croft", mais qui ne correspondent pas à un scénario posté.
<label>Dis ce que tu veux :</label> "ce que tu veux"  :sort:

<label>Je réserve mon personnage :</label>
[code]<oeuvre>Red Notice</oeuvre>

<perso><reserve>Sarah Black</reserve></perso> <feat>ft. Gal Gadot</feat>[/code]
</div></div></div></div>
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