<div class="presensation-v2"><div class="zone-haut"><div class="info-perso pseudo">Hannibal Lecter</div><div class="image-perso" style="background: url('https://i.pinimg.com/originals/e2/32/e9/e232e9321535631d0999903b10be9548.gif');background-size: cover;background-position: 50%;"></div><div class="info-perso">Œuvre</div></div><!--


--><div class="zone-resume"><div class="avatar-perso" style="background: url('https://cdn.discordapp.com/attachments/704019092381761707/818949196602015835/AvatarMads3.png');background-size: cover;"></div><div class="infos"><label>Nom :</label> Lecter
<label>Prénom :</label> Hannibal
<label>Surnom :</label> Docteur Lecter, Chesapeake Ripper, Hanni...
<label>Date de naissance, lieu :</label> 20 janvier, Vilnius (Lituanie)
<label>Orientation sexuelle :</label> pansexuel
<label>Type :</label> humain
<label>Oeuvre d'origine :</label> Hannibal
<label>Saison/Film/Jeu choisi(e) :</label> Après le dernier épisode de la saison 3
<label>Timeline fixe ou libre :</label> fixe
<label>Réalité principale :</label> City
<label>Groupe :</label> The eye of evil
<label>Rang :</label> Chaotique mauvais
<label>Avatar :</label> Mads Mikkelsen
<label>Crédits :</label> Kathou + pinterest</div></div><!--

--><div class="caractere-perso"><titre><n1>ton</n1><n2>caractère</n2></titre><div class="caractere">Ce qui frappe tout le monde, dès le départ, c’est mon charisme. Je suis un homme distingué, qui aime l’élégance et qui fait preuve de bon goût. Très intelligent, j’analyse beaucoup ce qui m’entoure, qu’il s’agisse de personnes, de lieux ou d’objets, je suis très observateur, perfectionniste et calculateur. J’aime l’art, aussi, et je suis moi-même assez doué pour certaines créations. J’ai le souci du détail, notamment, et j’aime coucher sur le papier des textes et des dessins, selon mon humeur.
Il m’est arrivé de me prendre d’une certaine empathie pour certaines personnes, et d'affection, aussi. Ainsi, si vous aimez le théâtre, l'opéra, les galeries d'art et les musées, nous aurions des points communs sur lesquels bâtir une relation.
Je dois tout de même reconnaître que j’ai l’un ou l’autre petit défaut pouvant parfois me mener à agir sur des proies un peu imprévues… Ainsi, je ne supporte pas les personnes qui commettent des fautes de goût ou celles qui cherchent à avoir une emprise sur moi. Je n’aime pas vraiment les gens, à quelques rares exceptions, et si j’entretiens des relations plutôt cordiales, je ne considère pas facilement une personne comme étant un ami potentiel. J’aime manipuler les personnages ayant un esprit faible, c’est bien plus facile pour dévier les soupçons des enquêteurs.
J’aime cuisiner, aussi, c’est sans doute un art dans lequel j’excelle, d’ailleurs, et je ne consomme pas d’êtres humains à proprement parler, malgré ce que vous avez peut-être pu entendre à mon sujet… les personnes qui finissent dans mes plats sont toujours des êtres inférieurs.

Physiquement, la nature m’a doté d’un corps d’homme plutôt grand et musclé. Il faut dire, aussi, que je tiens à entretenir ma forme physique pour plusieurs raisons… D’abord car il me semble qu’avoir un corps en bonne santé est essentiel, ensuite pour le côté pratique – je n’aimerais pas tomber malade ou faible par manque d’exercice – et enfin, pour que ma prestance ne perde jamais de son éclat… Oui, je suis un peu dandy, en quelque sorte, et je tiens à maintenir une esthétique très raffinée. Mais n'allez pas croire que je ne sois qu'une façade, ce n'est pas du tout le cas et sachez que je suis plus que capable de me défendre. On pourrait me prendre pour un homme narcissique, à cause de tout cela, mais je pense que ma faiblesse la plus importante est le jugement que je porte sur les humains inférieurs, ces porcs qui finissent par constituer un repas gargantuesque, que je prépare à l’aide de recettes parfois un peu alambiquées… Certains diraient que je suis un sociopathe, d’autres optent plutôt pour le qualificatif de psychopathe. Laissez-les dire et venez donc me rencontrer, vous découvrirez que je ne suis qu’un gentleman, un psychiatre et un formidable cuisinier. Oh, et un très bon danseur, aussi, accessoirement.
</div></div><!--

--><citation>"When feasible one should always eat the rude."</citation> <!--
--><div class="zone-histoire">
<div class="zone-images"><div class="image-haut"><span style="background: url('https://c.tenor.com/eVsx3mo--6MAAAAd/hannibal-mads.gif');background-size: cover;"></span></div><div class="images-bas"><span style="background: url('https://i.gifer.com/1LAo.gif');background-size: cover;"></span><span style="background: url('https://64.media.tumblr.com/c5c86cc2fc5ee7ece9e9b14ff83dab20/tumblr_inline_p9xjuzW6Bz1sirj9i_250.gif');background-size: cover;"></span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR L'APOCALYPSE

--><div id="apo" class="histoire zone-visible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> Ici.
<label>Situation amoureuse :</label> Ici.
<label>Ancien métier :</label> Ici.
<label>Communauté :</label> Est-il dans une communauté ou solitaire ?
<label>Nouvelle fonction :</label> Ici.</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité apocalyptique</span></div><span>Réalité non jouée pour l'instant

[i]Si réalité principale[/i] : Sous la forme que vous souhaitez, résumez-nous son passé, son histoire, comment il est arrivé à Silvergate et ce qu'il fait maintenant. Le format est libre.

[i]Si adaptation[/i] : Résumez-nous sous la forme que vous souhaitez comment est sa vie dans cette réalité. Merci de vous référez aux <a href="https://divided-realities.forumactif.com/f4-les-annexes">différentes annexes</a>.
</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR LE CITY

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<div id="city" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 47 ans
<label>Situation amoureuse :</label> c'est compliqué
<label>Quartier :</label> Warlington Square
<label>Métier :</label> psychiatre
<label>Association :</label> Embrace the planet (secrétaire)
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité city</span></div><span>Je suis donc né voici presque cinquante ans, dans une riche famille aristocratique lituanienne où mon père, le comte Lecter, descendant du célèbre Hannibal le Sinistre, et ma mère, la belle Italienne Simonetta Sforza-Lecter, descendante des Visconti, me donnèrent une éducation digne de mon rang. Etant le huitième descendant de la famille à porter le prénom Hannibal, je mettais déjà un point d’honneur à être à la hauteur. J’ai été gâté, en réalité, puisque c’est dès l’enfance que l’on m’a enseigné l’anglais, l’allemand, l’italien et le lituanien… et vous n’êtes pas sans savoir que la maîtrise d’une langue commencée tôt a plus de chance d’aboutir par après.
J’avais quatre ans lorsque naquit ma petite sœur, Mischa, et au fil du temps, nous avons, elle et moi, noué un lien affectif très fort qui se développa au fil du temps.
J’ai pris goût au dessin très jeune, vers l’âge de six ans, après avoir découvert, dans différents ouvrages, notamment d’Euclide, des illustrations d’œuvres architecturales. Cela m’a très vite inspiré et je me suis mis à représenter la réalité à l’aide de crayons graphite finement taillés.

Ma vie aurait pu continuer comme cela, mais il a fallu que des Soviétiques attaquent le château familial. Pour faire bref, Mischa et moi étions les seuls survivants de ce drame. Et du haut de mes huit ans, je ne voulais pas lâcher la main de ma petite sœur. Nous avons été faits prisonniers, elle et moi, par un groupe de quelques Soviétiques refugiés dans une forêt, ils avaient pillé les réserves du château, mais quand les vivres commencèrent à manquer, ces hommes ont tué Mischa pour eux survivre, la faisant cuire comme un vulgaire lapin.
De l’horreur de ce moment, je ressortis traumatisé. Avec le recul, à présent, je sais que la mort de ma sœur a détruit quelque chose en moi… mais sur le moment, cela m’a surtout poussé à m’enfuir, en ayant au fond de moi une furieuse envie de venger Mischa. Mais durant un moment, je cessais de parler.
J’ai erré quelque temps, avant d’être accueilli dans un orphelinat. Ce que je ne souhaite à personne, d’ailleurs, car là encore, c’était la loi du plus fort qui était la meilleure… Et je dus me défendre régulièrement contre des orphelins qui étaient intimidants, blessants ou violents avec les autres… certains diront que j’ai violemment attaqué et blessé violemment ces enfants… j’ai également pris à plusieurs reprises la défense de plus faibles, avec qui je me comportais plutôt bien.

J’avais treize ans lorsque la situation s’améliora pour moi. Mon oncle, Robertus Lecter, avait été mis au courant par je ne sais trop quel intermédiaire, que j’étais toujours en vie. Il m’a alors adopté, m’installant dans son domaine, en France, où j’appris donc le français. L’épouse de mon oncle, Lady Murasaki, m’enseigna des éléments de la culture japonaise, tandis que mon oncle me poussait vers la peinture. J’ai éprouvé quelque chose d’étrange pour ma tante, elle avait un certain charme et je pense vraiment aujourd’hui pouvoir dire que j’ai été amoureux d’elle, sans que nous ne concluions rien, évidemment, au vu des circonstances. Je me rapprochais aussi, à l’époque de Chiyoh, la servante de ma tante, que je considérais comme une amie.
Cependant, je ne parlais toujours pas. J’ai donc rencontré un psychiatre, qui était censé m’aider, mais c’est aussi à cette époque que j’ai vécu la mort de mon oncle. Veuve, Lady Murasaki a été la cible d’obscénités proférées par un sous-homme du coin. Je vous passe les détails, mais j’ai vengé moi-même mon adorable tante, en décapitant le coupable… et, volontairement, je lui ai coupé les joues, que j’ai ensuite mangées délibérément. Je m’étais rendu moi-même coupable d’un crime, mais grâce à ma chère tante, j’ai pu échapper à la justice, malgré des interrogatoires où je me montrais impénétrable.

J’ai suivi ma tante à Paris où j’ai fait mes études dans un lycée. Elève intelligent et studieux, je n’ai eu aucun mal à exceller dans les matières étudiées. Même si j’aurais clairement préféré vivre avec Lady Murasaki plutôt qu’être dans un internat. C’est brillamment que je réussis mes études, intégrant dès lors, à un âge plutôt jeune, une école de médecine. J’ai eu la chance d’être épaulé par un médecin, le docteur Dumas, qui m’a véritablement ouvert la voie de la profession.
C’est lors de mes études que je découvris, un peu par hasard, un tableau de la collection privée de mon père. Un tableau unique, qui était à vendre… Il ne m’en fallut pas plus pour faire le lien : les meurtriers de ma sœur étaient encore en vie et l’heure de ma vengeance avait sonné.
J’avais dix-huit ans lorsque je suis retourné en Lituanie, sur les traces des assassins de Mischa. Et je finis par mettre la main dessus, l’un après l’autre, et par leur réserver toujours le même sort : la mort, suivie de la consommation de leurs joues. Et quand il n’en resta qu’un, Lady Murusaki essaya de me convaincre d’abandonner… elle tenta de me retenir en jouant de ses charmes et, sincèrement, j’étais sur le point de lui céder lorsque j’eus une pensée pour ma petite sœur. Je ne pouvais pas laisser cette vengeance inachevée.
Je retrouvais Grutas, le dernier des meurtriers de Mischa, et cette abomination de la nature osa me dire que j’avais, moi aussi, consommé ma sœur ce jour-là, puisque j’avais reçu une portion de nourriture comme les autres. Mon sang n’a fait qu’un tour et j’ai éviscéré cet homme, de rage. Ce qui me valut d’être arrêté, mais le peu de preuves qu’il y avait contre moi fit qu’il n’y eut jamais de procès. Ma tante me rendit visite et me trouva « changé, pour reprendre ses mots, émotionnellement ».

Grâce à un chanceux concours de circonstances, je fus donc libéré et mes notes scolaires et mon talent en dessins m’ouvrirent les portes d’un stage à la faculté John Hopkins, à Baltimore, dans le Maryland. J’y ai obtenu mon diplôme de médecine, puis, au bout de quelque temps, après avoir travaillé aux urgences de l’hôpital, je me suis réorienté vers la psychiatrie.

Depuis, j’ai mon propre cabinet, que j’apprécie beaucoup pour son style et son aspect chaleureux. J’y ai installé une belle collection de livres. Dans mes appartements privés, ma cuisine occupe une grande place et je possède également une cave aménagée qui me permet de m’adonner à ma passion pour la cuisine gastronomique.
Je consulte régulièrement ma collègue, et néanmoins amie, Bedelia du Maurier, qui me permet de me recentrer lorsque c’est nécessaire. J’apprécie sa compagnie et nous partageons, elle et moi, le goût des arts. Le genre de femme que j’aurais sans doute pu (ou dû ?) épouser depuis longtemps.
Il m’est régulièrement arrivé, aussi, d’aider le FBI pour établir des profils de tueurs en série, c’est dans ces circonstances que j’ai fait la connaissance de Will Graham, un homme qui a quelque chose de vraiment fascinant… son esprit, en tout cas, m’intéresse beaucoup, mais je dois avouer qu’il y a peut-être plus que cela.

Et puis, il y a eu tout ce trouble, parce que Will m’a sans doute un peu trop intéressé. Je me suis pris au jeu, enquêter avec lui sur des meurtres était quelque chose de très excitant. Inspirant et amusant, aussi. J’ai vraiment apprécié découvrir ces multiples « collègues » et leurs techniques. Je me suis même amusé à reproduire certaines de ces méthodes pour brouiller un peu les pistes. Ça m’a tellement plu de jouer les copycats que je suis allé jusqu’à imiter mes propres meurtres, comme par goût pour la stylistique.
Pour cet art qui est le mien, Will Graham s’est révélé être une muse parfaite et des plus inspirantes. Les limites de ce petit jeu étant relativement floues, j’ai voulu mener quelques menues expériences avec Will. Son encéphalite aidant, il lui arrivait assez régulièrement d’être un peu perdu dans la réalité… une brèche dans laquelle je me suis engouffré allègrement, allant jusqu’à lui faire avaler l’oreille d’Abigail, comme un indice indéniable de sa culpabilité pour mes propres meurtres… Et quand il a été arrêté, j’ai évidemment un peu regretté de l’avoir mis dans une telle posture.
Enfin, il m’a fait regretter cela, pour être exact. Après avoir envoyé un infirmier pour me tuer, d’ailleurs il n’était vraiment pas loin de le faire, la roue a tourné, pour ainsi dire. Le destin peut parfois être un peu aidé, voyez-vous ? Miriam Lass a joué ce rôle de coup de pouce et mon cher Will a donc été libéré, puisque les soupçons ont ainsi été déviés vers le Dr Chilton.

Will, une fois sorti de prison, s’est montré déterminé à me démasquer et à me faire arrêter. Mais, sur le moment, cela ne m’a pas paru être une très bonne idée. Il se rapprocha de Margot Verger, une de mes patientes, comme pour me montrer qu’il n’avait plus rien à faire d’Alana. Je n’aimais pas trop la proximité qu’il avait avec Margot, mais je préférais n’en rien montrer. Il était important que je m’occupe du grossier personnage qu’était le frère de celle-ci, à présent.
J’avais parfaitement conscience que je ne pourrais pas rester hors d’atteinte éternellement, alors j’ai préparé ma fuite et j’ai invité Will à m’accompagner, mais devant son refus, je suis parti pour l’Italie avec Bedelia.

C’est à Florence que nous nous sommes installés, elle et moi, et par un heureux concours de circonstances, j’ai pu occuper le poste de conservateur du musée. Une place que j’ai pu vraiment apprécier, à la vérité, étant un fervent admirateur de Dante et de Botticelli, l’art italien me permettait de me sentir comme un poisson dans l’eau.
Désireux de se venger, Mason Verger lança des recherches à mon encontre, avec une belle prime à la clef, histoire de motiver les témoignages divers. C’est ainsi que je me suis retrouvé à être traqué comme du gibier. Mais, si je finis par être attrapé, ce n’est certainement pas grâce aux agents du FBI… puisque c’est chez Verger que je me suis retrouvé emprisonné. Pour un temps, seulement, puisque Margot et Alana se sont vite rendu compte que j’étais le seul à pouvoir arrêter Mason dans sa folie.
Je me suis rendu après cela. J’aurais pu fuir, bien sûr, mais rester à Baltimore, accessible et facile à trouver pour Will m’importait beaucoup. Je faisais ainsi le pari un peu fou que l’agent spécial Graham aurait un jour envie de me revoir…
Et cela n’a pas manqué d’arriver. Trois ans plus tard, certes, mais ce qui importe, c’est que Will est revenu. Je lui avais écrit, mais s’il n’a pas pris la peine de me répondre… il est venu de lui-même pour me voir dans ma cellule. C’était si bon de le revoir… mais il venait pour une raison précise, ce n’était évidemment pas une visite de courtoisie, puisqu’il s’agissait du Grand Dragon Rouge.

Tout a été préparé pour mon transfert – un piège pour le Grand Dragon Rouge, en réalité – mais Dolarhyde a été plus vif que ce que pensait le FBI… Il a tué toute l’escorte, me permettant de m’enfuir, avec Will, cette fois. Nous avons rejoint la demeure en haut de la falaise. C’est là que Will magnifia sa propre personne en tuant Dolarhyde de ses propres mains. Je ne lui ai jamais dit, mais c’est le moment où j’ai trouvé Will terriblement attirant, sans doute plus encore que durant tout ce que nous avions pu vivre ensemble auparavant. Ce meurtre l’a transfiguré, comme le Christ transfiguré apparaît aux apôtres après le miracle de Pâques, et il m’a littéralement prouvé que j’avais raison depuis le début…
Pour quitter cette vie et repartir de zéro, ailleurs, l’agent spécial Graham nous a projetés du haut de la falaise, directement dans l’océan. J’ai toujours été un excellent nageur et je n’ai jamais manqué de ressources… aussi, cette chute précipitée n’a été qu’une étape vers notre libération à tous les deux.

Nous avons vécu dans divers lieux avant d’arriver à Silvergate. C’est ici que nous avons emménagé. Après tout ce que nous avons vécu tous les deux, c’était presque une évidence que nous devions vivre l’un près de l’autre, avec tout ce que cela implique, bien sûr.
</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR l'HISTORIQUE

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<div id="histo" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 47 ans
<label>Situation amoureuse :</label> veuf
<label>Lieu d'habitation :</label> Ravenbarrow
<label>Type :</label> humain
<label>Métier :</label> gouverneur militaire
<label>Classe sociale :</label> aristocrate (marquis)
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité historique</span></div><span>Lorsque ma femme est décédée, il y a de cela quatre ans maintenant, il a fallu que je trouve une bonne raison de continuer à vivre… Donner du sens à l’existence n’est pas chose aisée et mon fils, Fabian, alors âgé de cinq ans, me désespérait plus qu’autre chose. Je n’ai jamais eu un excellent contact avec les enfants, ces personnes miniatures sont bien trop imprévisibles et peu obéissantes pour moi…
Fabian a été confié à un précepteur chargé de faire son éducation, pour qu’il puisse honorer son statut de marquis par la suite, quand je ne serai plus là.
Tout cela pour dire que, même si j’aime mon fils, je ne suis pas à proprement parler un père idéal, j’ai préféré confier ma progéniture à quelqu’un d’autre, pour pouvoir me consacrer à la défense du royaume.

C’est tout récemment, lors d’une expédition avec mon armée, que j’ai été forcé de m’arrêter chez un forgeron local. La lame de Chiyoh, ma fidèle épée, s’était quelque peu émoussée sur les os de quelques ennemis, et il me fallait absolument la remettre en état avant de rentrer. Un homme de ma trempe se doit d’avoir toujours une arme parfaitement entretenue.
Je me suis donc arrêté chez un artisan ne payant pas de mine, qui s’affairait près de son enclume, et je lui ai demandé de s’occuper de mon épée. Je n’ai pas l’habitude qu’on me refuse quelque chose ou que l’on me fasse attendre, aussi, lorsque ce gueux m’a demandé de patienter, j’ai vu rouge. Et si Chiyoh était émoussée, ce n’était pas le cas de la dague que je gardais toujours sur moi et que j’ai dirigée vers lui pour le menacer, afin qu’il se bouge un peu. Il n’en aurait pas pour longtemps, à s’occuper de mon épée, après tout…

Le forgeron a frappé son esclave, pour qu'il alimente le feu de sa forge. Je n'ai jamais apprécié les personnes brutales ou impolies. Le forgeron avait beau être un artisan, je ne pus supporter la vision des coups qu'il donnait à l'esclave. J'ai détourné les yeux... au moment précis où l'esclave se rebiffa. J'ignore comment il s'y est pris, mais ce fut en un éclair que le forgeron se retrouva au sol, maintenu fermement par celui qui était sa main d'oeuvre.
L'esclave me rendit Chiyoh, en un geste qui ressembler à une promesse silencieuse de s'occuper de mon épée plus tard... Je ne sais ce qui me poussa à accepter, toujours est-il que j'ai laissé une bourse de piècettes d'argent au forgeron inconscient, comme pour racheter son esclave, ce dernier prit un cheval et m'accompagna jusqu'au château.
Là, je lui annonçai que je ne voulais pas d'esclave. Que s'il voulait rester ici, il pourrait travailler et serait rémunéré. Je ne tenais pas à ce qu'il fasse de nouveau usage de la force, et je voulais qu'il sache que je ne lui imposerais pas ce que son ancien maître faisait de lui.

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-- ZONE HISTOIRE POUR LE SURNATUREL

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<div id="surnat" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> 568 ans
<label>Situation amoureuse :</label> néant
<label>Quartier :</label> Blackridge
<label>Type :</label> vampire
<label>Particularités/pouvoirs :</label> force spectaculaire, sens décuplés, vitesse supersonique, nyctalopie, pouvoir hypnotique et j’en passe…
<label>Métier :</label> barman
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité surnaturelle</span></div><span>Lorsque j’ai été transformé, voici plus de cinq siècles, je m’étais juré de ne pas à mon tour métamorphoser un humain. Parce qu’au fil du temps, cette existence sans vie, cela ne me semblait pas être forcément un cadeau pour celui ou celle qui était transformé.e…
J’ai erré quelques siècles avec mon créateur, il m’a beaucoup enseigné, j’ai pu apprendre énormément de choses, notamment la maîtrise de ces nouvelles capacités qui m’étaient venues avec la transformation…

Au fur et à mesure que le temps passait, j’avais aussi eu de plus en plus l’habitude de prendre mes distances avec mon créateur. Une fois qu’il m’eut tout appris, j’ai commencé à m’ennuyer un peu à ses côtés… Sa philosophie de vie ne me convenant plus, nos chemins avaient fini par se séparer et nous ne nous retrouvions plus qu’une fois de temps à autre, lors de réunions prévues ou non…

C’est à la fin du XIXe siècle que j’en ai eu assez d’être seul. Bien sûr, je m’amusais avec des humains, mais ce n’était pas pareil. J’avais envie, et sans doute besoin aussi, d’un semblable. Je me devais de trouver quelqu’un pour m’accompagner pour la suite de mes aventures… et il m’a fallu des années pour trouver le candidat idéal.
C’est en traversant une ville au hasard de mes voyages que je l’avais vu. Ou senti, plutôt, car ce fut son odeur corporelle qui m’attira d’abord. Enfin, l’odeur de son sang, plus particulièrement. Je l’avais approché comme un potentiel ami ou amant, puis, une nuit, je l’avais goûté comme on déguste un dessert longuement attendu… et puis, dans la foulée, après l’avoir mordu, j’avais mordu mon poignet pour lui faire boire mon propre sang…

Je devins alors à mon tour le créateur d’un vampire en l’an de grâce 1920… Cela fait un siècle maintenant que ma progéniture marche avec moi. Nous nous aimons autant que nous nous détestons, lui et moi. Aucune nuit ne se ressemble et nous n’avons donc jamais l’occasion de nous ennuyer… Voilà ce dont je pouvais rêver pour l’éternité !

Et quand il s'est fait tuer par un chasseur, voici plus de quinze ans, j'ai cru que mon existence devait s'arrêter là. Je me donnais encore une chance d'exister ici, à Blackridge, de mener une non-vie pouvant encore amener quelques surprises... Restait à voir si cela vaudrait la peine de continuer...
</span></div></div><!--

-- ZONE HISTOIRE POUR LE FUTURISTE

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<div id="futur" class="histoire zone-invisible"><div class="histoire-haut"><div class="histoire-info"><!--
--><label>Âge :</label> Ici.
<label>Situation amoureuse :</label> Ici.
<label>planete :</label> Ici.
<label>Type :</label> Ici.
<label>Particularités :</label> S'il a des particularités...
<label>Métier :</label> Ici.
</div></div><!--
--><div class="bloc-texte"><div class="zone-titre"><span class="histoire-titre">Réalité futuriste</span></div><span>[b]Rappel :[/b] Cette réalité est forcément une [i]réalité alternative.[/i]</span></div></div><!--

--><div class="zone-boutons"><span id="apo-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/08ff6v0qpg3r6zk/biohazard-danger-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="city-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/lg2c8hq0nguxfbh/house-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="histo-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/b1szoujwzpxc8pg/castle-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="surnat-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/szzughe2a3mo99e/satanism-satan-svgrepo-com.svg?raw=1"></span><span id="futur-lien"><img src="https://www.dropbox.com/s/1judagnej58pd5q/Frame%201.svg?raw=1"></span></div></div><!--

--ZONE INFORMATION DU JOUEUR--

--><div class="presentation-joueur"><div class="icon"><span style="background: url('https://cdn.discordapp.com/attachments/783354896027222017/823258975503253504/Mads4.png');background-size:cover;"></span></div><div class="bloc-joueur"><titre><n1>ta</n1><n2>présentation</n2></titre><div class="infos-joueur"><label>Pseudo :</label> Kathou
<label>Âge :</label> 36
<label>Pays :</label> Belgique
<label>Comment as-tu trouvé le forum :</label> bah comme la fois passée :P
<label>Pré-lien/scénario :</label> Nope
<label>Dis ce que tu veux :</label> Multiclonaaaaage [img]https://cdn.discordapp.com/attachments/834843338216964097/960964584846544956/multiclonage.gif[/img] (ps : si quelqu'un veut se lancer dans du Naruto par la suite, j'peux jouer Kakashi ou Jiraya  :cutiz: )

<label>Je réserve mon personnage :</label>
[code]<oeuvre>Hannibal</oeuvre>

<perso><reserve>Hannibal Lecter</reserve></perso> <feat>ft. Mads Mikkelsen</feat>[/code]
</div></div></div></div>